Gwendoline, le loup-garou et moi (1)
Datte: 16/04/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... s’épanchait lentement, comme du lait concentré. Il retourna Gwendoline. La posa en levrette sur un transat, la prit par les hanches et, pliant les jambes pour mettre sa queue à la bonne hauteur, il entreprit de défoncer la moule qui était épanouie comme une rose. "Oh oui, putain c’est bon, enfonce-là moi toute. Oh, oh quelle queue, quelle queue.. Ah, quelle est grosse, oh... encore... ouiiii...". Il ne bougeait quasiment plus que par légères secousses. La crème sortait en lourdes larmes qui s’écrasaient avec lenteur sur le coussin du transat qui fut vite complètement trempé. "Et mais qu’est ce qu’il se passe. Ouille ! Tu fais quoi la mon grand loup "? — Là, je fais comme les chiens, je suis en train de te bloquer, la base de ma bite est en train de devenir une énorme boule rouge qui va t’obturer le trou. Quand ce sera fait alors je vais jouir. -Aie. Je vais pas supporter. C’est trop gros. Tu m’écarte trop le vagin là ! — Quoi, enfin ce n’est pas prie qu’un accouchement. Tu vas t’y faire. Aller, bouge ton cul là. Remue-toi. Ouais, c’est bon ça. Par curiosité je m’approchais pour voir la scène en gros plan. Effectivement, les lèvres était fendues par une énorme boule. Elles étaient rouges et gonflées. Maxime poussait plus fort et ses très grosses et très lourdes couilles dansaient en cadence. Il dut s’apercevoir que je les avais remarquées car il me demanda de les sucer. Elles n’avaient pas de poils. Elles étaient douces et lisses et sentaient une agréable odeur de rut. ...
... J’essayais de les gober une a une. Gwendoline hurlait de bonheur. Je lui dis de se taire. Maxime me rassura: "Il n’ y a personne à des kilomètres, on peut se lâcher et, poussant des grognements de plaisir, il éjacula, ce que les cris de Gwendo me confirmèrent. Puis il se retira. Cela fit un "plop" sonore, comme une gigantesque ventouse qu’on arrache et la jute coula abondamment sur le sol. "Je vais me laver" dit Gwendo. Un peu libérée par son absence, je me précipitai vers la protubérance rouge trempée qui, bien droite, laissait pendre de longs fils blanchâtres qui se détachaient avec lenteur du vit et qui s’écrasèrent sur le pied de la bête. Il était tellement grand que sa queue dressée arrivait presque à la hauteur de mes seins. Je n’eus donc qu’un effort minime à faire pour coincer la bite entre mes deux nichons et en titiller le bout avec la langue. J’en trouvai agréable le goût et l’odeur, aussi me décidai-je à le bouffer franchement. L’avantage du langage télépathique c’est qu’on peut parler la bouche pleine. "C’est bon ta queue, là"! — Vrai ? — Oui. Hmmmm j’ai vraiment envie que tu me la foute. — A votre service. Je m’allongeai donc sur le dos en écartant mes jambes au maximum. "Faut que je fasse vite. Le jour approche et ta copine en veut encore" — Ah bon? — Elle est partie se doucher, elle est partie se doucher... tu parles. Elle est surtout partie se laver le rectum. Elle a envie que je l’encule. — Et tu vas pouvoir jouir encore ? — Je sais pas. C’est la première fois que ...