1. Comment naît une histoire


    Datte: 25/04/2018, Catégories: ffh, fbi, inconnu, voisins, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, nonéro,

    ... pour mon plus grand bonheur. Juste l’amour de la belle image. Elle se lève. Spectacle terminé, ou intermède provisoire, je m’interroge. Mais je n’ai pas le temps de me lamenter, car dans l’instant m’est offerte une autre vue, encore plus charmante, inattendue, coquine à souhait. Cette jupe si légère, elle l’avait relevée pour ne pas être assise dessus, j’imagine. Mais la chaleur l’a collée à son dos et, quand elle rentre par la porte-fenêtre, j’entrevois en un instant un adorable postérieur, rougi de cette position assise, mais si parfaitement modelé. Ah, dame nature, que vous faites joliment les choses ! N’est-il pas merveilleux ce double arrondi. ? Je repense illico à Jean-Pierre Marielle, dans ’Les galettes de Pont-Aven’. Je crois qu’il avait la même admiration, et aussi la même prévenance quand il s’extasiait derrière la petite soubrette : « Quel cul, mais quel cul ! ». Je n’ai pas toute sa chance, car le plan que m’offre la belle est imparfait, incomplet, le bas des reins partiellement masqué par sa jupe. C’était pourtant l’occasion rêvée de découvrir l’existence d’un sous-vêtement et de répondre à ma question. Et si elle porte un string, cette fugitive image ne m’en apprendra pas plus. Mais après tout, je l’ai déjà dit, le plus important n’est pas là. Heureux de cette image subreptice, je caresse du regard ces deux globes, puis les abandonne pour découvrir la longue courbe de ses jambes avant que le tout ne disparaisse dans l’embrasure. Plan imparfait, disais-je ? Non, ...
    ... plan admirablement évocateur, au contraire, laissant place à toute supposition. Pas encore de scénario, mais déjà de belles images. Elle réapparaît, téléphone à l’oreille. Yes ! Comme un adolescent, j’exulte, ravi de voir se prolonger le spectacle. Dominique se rassoit en babillant, enjouée, détendue. Si je connais son prénom ? Non, mais si je veux qu’elle entre dans mon récit, il lui faut un prénom. Et ses cheveux blonds mi-longs, ses formes si sensuelles me rappellent quelqu’un. Quelqu’un que je connais à peine, mais dont l’ambivalence me fascine, dont le regard, dit-on, attire tous ceux et toutes celles qui le croisent, alors cette voisine sera sa représentante, son alter ego quelques instants. Je suis comme ça, mes histoires ont toujours un lien avec la réalité. La jupe est toujours aussi haut sur les cuisses et la même question lancinante m’obsède, malgré ce que j’en dis. Seul dans mon bureau, je ris, me moquant de moi-même. Bien sûr que découvrir cette intimité ferait battre mon cœur, mais le soulèvement du tissu, au gré du vent badin, n’est-il pas encore plus suggestif, plus excitant ? Puis un souffle plus fort et la jupe légère se soulève un peu plus, se gonfle, se dérobe, et se fait mon alliée. Mon alliée pour me frustrer, ou pour m’exciter davantage ? C’est selon, encore une fois. Effectivement, un sous-vêtement me masque le pinacle. Vision fugitive, avant qu’une main prude ne remettre de l’ordre dans cet engageant dégagement de l’étoffe. Peu importe, ce qu’il m’en ...