C'est parti !
Datte: 26/04/2018,
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... coquins que je n’ai jamais eu l’occasion de mettre après quelques échecs cuisants. Sans savoir pourquoi, je les ai amenés. Étienne ne peut s’empêcher de rester bouche bée quand je débarque dans le salon. – Et bien dites donc ! Si on m’avait dit que j’avais une belle-fille aussi séduisante. Je ne l’aurais pas cru. – Merci Étienne. Vous me flattez. – Non ! Je suis sincère. Il va falloir que je vous surveille si je veux vous ramener à mon fils parce que vous allez faire tourner les têtes. – Arrêtez ! Vous me gênez. En vérité, j’adore qu’il me flatte ainsi et si je pouvais, je lui montrerais ma gratitude à ma manière. Mais encore une fois je refreine mes instincts. Dans la boîte, un monde fou. Nous buvons encore quelques verres, nous dansons, plaisantons puis vient le moment des slows. Beaucoup de mecs tournent autour de moi. Ma robe a tendance à virevolter et dévoile mes cuisses assez largement parfois on doit apercevoir mon string. Aussitôt Étienne prend les devants et m’entraîne sur la piste au grand regret de certains qui auraient certainement aimé profiter de la situation. Un peu alcoolisée, je me sens légère comme une plume, je ris parfois un peu niaisement aux plaisanteries d’Étienne. Je sens parfois sa main frôler subrepticement mes fesses ou un sein, au travers de ma robe. Je laisse faire, lascive. À un moment je sens même qu’il bande, son sexe pèse contre ma jambe ou contre le bas de mon ventre. Je suis en feu, je voudrais qu’il me prenne là, devant tout le monde, ...
... comme une bête. Je deviens folle, il faut qu’on me baise, qu’on me défonce, qu’on me déchire et lui a apparemment ce qu’il faut pour me faire hurler de plaisir comme je sais si bien le faire. Je me laisse de plus en plus aller à ses caresses mais la soirée est déjà bien avancée et déjà on annonce la fermeture de la boite. Nous finissons nos verres et partons en me laissant sur ma faim. À peine arrivés nous nous souhaitons bonne nuit et regagnons chacun notre chambre. Là je me masturbe comme une cinglée, en levrette, à m’en faire mal au clitoris, le griffant, le pinçant pour que ça aille plus vite, pour enfin étouffer dans mon oreiller un cri rauque que, j’espère, personne n’aura entendu. Une fois mes esprits retrouvés, je me suis demandée ce qu’Etienne pouvait bien faire lui qui bandait si fort. Peut-être a-t-il fait de même ? Je l’espère. Quoi qu’il en soit, je veux profiter de mes vacances. Au diable les maillots de bain une pièce, demain je m’achète un deux-pièces et je me ferai bronzer en topless si le cœur m’en dit. Dans la matinée je décide d’aller faire un petit tour à pied jusqu’au village. Quelques petites boutiques dont une de lingerie, attirent mon attention. J’entre dans un petit magasin de fringues pour voir si je trouve un maillot de bain. Je demande à la vendeuse qui me parait sympathique et qui gentiment commence à déballer ce qu’elle a. Manque de chance, elle n’a pas tout à fait ma taille mais je trouve finalement un maillot de bain qui pourrait me convenir : ...