C'est parti !
Datte: 26/04/2018,
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... jaune fluo mais un peu petit. Dans la cabine d’essayage, il me cache difficilement les seins qui débordent de partout de plus comme je ne me rase pas (le sexe) les poils se voient presque en transparence. Décidément, je ne peux pas prendre ce maillot ça fait moche. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je jette mon dévolu sur un autre bikini noir qui cache mieux ma toison mais vraiment trop petit pour mes seins. Il en cache une bonne partie mais les écrase assez pour qu’ils débordent copieusement de chaque coté. C’est un peu vulgaire mais je n’aurai qu’à ne pas mettre le haut. Après le déjeuner je décide de m’allonger le long de la piscine et Étienne décide d’aller faire une petite sieste. Je prends le temps d’enfiler mon nouveau maillot de bain et me colle sur ma serviette, le soleil brûle et Étienne qui n’est pas encore couché vient me voir. – Vous devriez mettre de la crème, nous ne sommes pas à Metz, vous allez ressembler à une écrevisse en un rien de temps. – Oui, je sens que ça me brûle déjà, dis-je en tournant la tête vers lui. Il est en maillot de bain, torse nu. Une baraque poilue, aux muscles saillants et, mon Dieu, un de ces paquets dans son maillot, j’en reviens pas, ce n’est pas possible, ça ne peut pas exister. J’ai vu des trucs énormes sur le net, jamais je n’ai pensé qu’on puisse en trouver en vrai. Enfin bref vous me comprenez. Je m’arrête de parler tout net devant ce spectacle. Il s’approche avec son tube de crème qu’il avait déjà à la main et commence ...
... à m’en mettre sur le dos. – Vous permettez ? – Heu… oui, oui, dis-je en bredouillant. Ses mains rugueuses parcourent mon dos. Mon Dieu, je vais défaillir. Il passe la main sous l’attache de mon haut. – Vous devriez défaire votre haut, il va laisser une trace ce serait dommage. – Ah oui ? – Bien sûr, dit-il en tirant sur la ficelle et la jetant de chaque coté. Me voilà le dos nu. Puis il s’attaque à mes cuisses. Le maillot est un peu petit et ne cache pas toutes mes fesses. Il en profite pour mettre de la crème dessus tout en resserrant le maillot dans la raie façon string. Je suis dans un état proche de la syncope. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’emballe. Je suis sûre qu’il le sent. Mon Dieu, quelle honte ! Mais ses mains… humm… ses mains sur mon corps. Un homme, un vrai. – Vous voulez vous retourner ? – Heu… non, non, ça ira je vais me débrouiller. – Vous êtes sûre ? – Oui, oui… non ! Enfin… je pense. – Très bien. Il se lève et rentre dans la maison. Je suis en transe. Je sens ma chatte dégouliner entre mes cuisses. Je suis au bord de l’orgasme. Il disparaît de ma vue. Je serre mes cuisses pour maintenir mon excitation. Je me fais des films salaces, d’une violence extrême. Il faut que je jouisse. Ma main s’égare entre mes cuisses passe sous mon maillot, j’appuie sur mon bouton d’amour et en moins de trente secondes je pousse un râle de jouissance que je n’ai pu, cette fois, étouffer. Je retombe sur ma serviette comme une morte, quelques spasmes parcourent encore mon ...