Nous sommes seuls
Datte: 17/07/2017,
Catégories:
fh,
frousses,
amour,
volupté,
Masturbation
pénétratio,
... nuque et vient tirer un peu ses cheveux, pour qu’elle me dévoile son cou et sa gorge. À son paroxysme, je redresse la tête et viens embrasser son sein droit. Elle exulte et explose. Je sens ses muscles me contracter les doigts, je jubile intérieurement. Sophie lâche un long soupir contenté et secoue ses cheveux. Elle tourne la tête vers moi et ouvre des yeux encore débordant de plaisir, mais aussi impatients. J’ai envie d’elle, envie de son corps, de sa chaleur et de sa jouissance. Envie de la sentir contre moi et de goûter sa sueur et sa peau. Mes doigts quittent leur nid douillet et, prenant garde de ne pas m’appuyer sur ma cheville, je me lève et me place derrière Sophie. Elle tourne un peu la tête, me lâche un sourire et un regard qui en disent long. Je lui bécote les épaules, je lui penche la tête pour lui mordre le cou. Je lui caresse les cheveux et vient poser mes lèvres sur les siennes. Je l’embrasse fougueusement, prouvant mon désir de la prendre, mon désir de nous consumer. Je quitte ses lèvres douces pour poser les miennes sur son dos. D’une main fébrile, je défais bouton et braguette de mon jean. Le son lui fait cambrer les reins. Mon sexe tendu émerge à l’air libre. Sans attendre, je le prends en main et vient caresser la fente humide de son sexe. Puis, je bute mon membre contre l’entrée humide et pénètre lentement, mais sans m’arrêter. Une fois ...
... au fond, j’attends un court instant. Je profite. Je profite du moment de béatitude que nous éprouvons tous les deux. Je commence à aller et venir sous ses gémissements et ses soupirs incessants, sous ses regards appuyés et sous le mouvement infatigable de son bassin. Je la pénètre plus profondément et plus rapidement. J’ai mis une main sur ses hanches et l’autre court par-devant. Je saisis son sein gauche dans ma main. Sophie ne sait plus où donner de la tête. Elle pousse sa poitrine contre ma main et se cambre le plus possible pour me sentir plus encore. Sa respiration s’emballe, son souffle se fait rauque et je sens la pression augmenter sur mon membre qu’elle enserre en elle merveilleusement bien. J’accélère les mouvements. Comme elle est belle quand elle jouit. Comme elle est belle, à peine déshabillée, mais à la fois si nue. Et c’est mon tour. Elle est déjà secouée par les soubresauts de la jouissance quand je me sens partir. Pendant quelques secondes encore, c’est ensemble que nous jouissons. Sophie lâche un long soupir de soulagement. Je me retire et remonte mon jean. Je caresse sa croupe, embrasse une fesse et, alors qu’elle est toujours groggy par le plaisir, la prend dans mes bras pour la poser dans le lit. Je l’embrasse encore et encore. Elle se blottit contre moi. Tout compte fait, il nous faudra bien une heure de plus de sommeil avant de partir.