54.7 T’en as jamais assez, toi…
Datte: 28/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... sublime le haut de son torse, qui dégage les épaules et les aisselles, qui souligne la plastique de ses bras et ses biceps puissants, qui révèle une vaste portion de ses pecs bombés, tout en laissant apprécier ce sillon prenant naissance dans le creux de son cou et descendant tout le long de son torse, cette ligne de symétrie de son anatomie disparaissant provisoirement, très provisoirement, sous le coton immaculé ? Et quoi dire, justement, de ce coton tendu juste en dessous de l’arrondi, coton dévoilant le relief spectaculaire de la partie couverte de ses pecs, laissant pointer les tétons ; ce même coton qui laisserait presque deviner, derrière les quelques plis horizontaux un peu plus bas, comme d’exquises esquisses du bas-relief de ses tablettes de chocolat ? Et comme si tout cela n’était pas assez pour me terrasser, comme s’il en fallait davantage pour m’achever, ce débardeur inouï est accompagné d’une alliée de taille : une casquette noire vissée sur sa tête, à l’envers, bien évidemment, portée très en arrière, la visière presque collée à son cou puissant, quelques cheveux en bataille dépassent tout aussi bien en dessous et au-dessus de la languette de réglage… c’est à se damner ! Je le regarde et je ressens un nœud dans la gorge, une brûlure dans le ventre, un choc dans la tête comme si on m’avait assené un coup en pleine figure. A ce stade de sexytude, ce n’est plus possible, c’est un danger public ; quand je pense, chose que je ne réalisais pas forcément à l’époque, ...
... qu’à ce moment précis mon Jérém n’a même pas 20 ans ! J’en viens même à me demander si cette débauche d’effets spéciaux de bogossitude n’est pas une façon de me déstabiliser, de se servir de son charme ravageur pour calmer mes velléités, une ruse pour tenter de garder de contrôle dans une situation, ce kif dont il ignore encore tout, et dans laquelle il n’a pas vraiment envie de perdre la main. L’effet est là : à l’instant même que le bogoss fait son apparition, je suis déstabilisé. Et aussitôt saisi par la déchirante, cruelle, sempiternelle double question : dois-je me réjouir de la présence, du supplément de sexytude extrême conférée par ce débardeur, même si cela cache en partie son torse ahurissant ? De même, dois-je contempler l’effet « petit con ultime » conféré par cette casquette à l’envers, même si je brûle d’envie de glisser mes doigts dans sa crinière brune ? Ou bien, dois-je arracher l’un et l’autre et ce, plus vite que tout de suite, pour pouvoir contempler sa parfaite, magnifique nudité ? Le fait est que, par chance, ce débardeur est l’accessoire parfait pour accompagner le kif que j’ai imaginé. Quant à la casquette, c’est un kif absolu. Oui, mon kif. Il ne faut pas que je me laisse déstabiliser. Je dois garder mon sang froid. Facile à dire, lorsque, simplement en le regardant, j’ai envie, dans l’ordre : 1/ de hurler 2/ de me taper la tête contre le mur 3/ de pleurer 4/ de lui sauter dessus et de le faire jouir jusqu'à que la queue lui en tombe Il faut que je me ...