La repasseuse, deuxième acte... - Histoires de Sexe

La repasseuse, deuxième acte...

... gland de plusieurs coups, puis la pointant titilla mon méat. — Tu vois comment je fais, Nicolas, regardes bien dit-elle, relevant les yeux et cherchant mon regard. Regarde bien, répéta-t-elle et elle goba ma bite. Je regardais : elle pompait, me branlait aussi, reculant régulièrement pour ressortir sa langue et lécher mon gland et me pomper à nouveau. Puis, léchant mes couilles déjà velues, vigoureusement elle me branla… — Arrête, lui dis-je, arrête ta main, je vais partir… Elle lâcha tout, et se relevant elle vint m’embrasser encore… Elle me suce, m’embrasse ! La bouche qui m’a sucé vient sur la mienne ! Comme c’est cochon… J’aime ! ! ! — Attends, attends, je veux tout, dit-elle, attends… Elle avait tout arrêté : — Je veux tout dans ma bouche… calme-toi ! La cochonne, elle me faisait languir… mais elle avait raison, fallait pas gaspiller ce beau jus blanc… — Voilà, c’est bien… je vais recommencer, doucement… tu me diras quand ça viendra et, tu verras, je te ferai bien juter… Elle se remit à pomper, doucement, mais presque au bord tout à l’heure, je sentais que ça n’allait pas tarder à revenir. — Sophie, j’arrive…, doucement ! Elle ralentit un peu : — Comme ça ?— Ouiiii… Elle se remit à sucer, doucement encore mais avec application. Je sentais mes couilles se rassembler, durcir, c’était bon jusque vers mon cul… Quand je me branlais, c’était le moment où je ralentissais, juste avant les saccades terminales… — C’est bon Sophie, tu suce comme une reine, j’arrive, j’arrive… j’y ...

... suis ! Elle avait senti elle aussi que j’y étais presque et n’avait pas attendu mon alerte pour accélérer son pompage. — Slurp… j’entendais, slurp, slurp… Sa tête montait et descendait à toute allure. Mes couilles se vidant, mon bassin se mit à tressauter et elle suivit le rythme… Je sentais sa langue tourner autour de mon gland pour tout en extraire. En même temps elle déglutissait : elle avalait… C’était presque une douleur que je déchargeais dans sa bouche… Aucune branlette ne m’avait autant vidé, et c’était encore mieux que tout à l’heure dans son con. Sa bouche s’ajustait mieux à ma grosseur, même si son vagin m’avait bien aspiré… inspiré… Impression jamais connue, indescriptible… Sophie n’arrêtait pas… Je tressautais encore… Puis m’immobilisant, elle continuait… jusqu’à ce que me bite, molle, s’échappe de sa bouche. Alors, elle se redressa et, me regardant dans les yeux, déglutit une dernière fois, s’essuya la bouche d’un revers de main et se pencha vers moi et m’embrassa… Rentrant sa langue, elle me fit à nouveau connaître ce goût salé, cette fois d’un peu plus que les quelques gouttes que la première fois j’avais lâché sur elle, dont peut avaient atteint sa bouche. — Petit salaud, il est bon ton foutre… ça te plaît ce que je te fais ?— Oui, Sophie, tout ce que tu fais me plaît… tu es gentille… cochonne et gentille ! ! !— Tu es mignon de me dire ça. Toi aussi tu es gentil, et tu feras un bon baiseur… Pour être un bon baiseur, il faut bien s’occuper de ses copines, être ...