Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
... des caresses exploratoires. La seconde suivante n’est plus que bruit et fureur. Sur elle, en elle. Nos bassins s’agitent violemment, s’entrechoquent à un rythme effréné. Nos bouches se dévorent à s’en mordre les lèvres. Mes mains écrasent ses mamelons, les siennes ont planté leurs ongles dans mon dos qu’elles labourent allègrement. Reprises de souffle éphémères où nous ahanons tel un sprinter à l’arrivée d’un cent mètres. Des éclairs lumineux zèbrent ma tête. Mon foutre la remplit, mais la charge de la brigade légère ne s’arrête pas pour autant. Nous continuons à jouer au yo-yo fou. Je m’enfonce en elle et la cloue au matelas, elle me renvoie dans les airs et je replonge. Voyage au bout de mon vit. Ma dernière goutte de sperme a tapissé son vagin depuis un moment déjà. À certains spasmes qui l’ont parcourue, elle aussi, a dû jouir. Pourtant nous n’arrêtons pas pour autant. Nos corps sont dotés d’une vie propre, nous ne les contrôlons plus. J’éjacule une seconde fois, du moins est-ce l’impression que j’ai. Son corps est parcouru de frissons puis de tremblements de plus en plus forts. Finalement, épuisés, nous nous écroulons l’un sur l’autre, puis nous désattelant l’un à côté de l’autre. Elle me prend la main et me la serre très fort. Nous sommes incapables de bouger, de parler, il nous faut d’abord reprendre notre souffle. La fureur a cessé, reste le bruit de nos respirations. Enfin, après un temps indéfini, je me redresse sur un coude et, passant une main caressante sur ...
... son visage couvert de transpiration, je lui déclare pompeusement : — Bienvenue à Crazy Island, Kim Anne.— Je vous remercie, Jérôme pour votre accueil chaleureux, bien qu’un peu rude.— Rude ? Je reconnais que pour une entrée en matière, ça l’était !— Pour être entré dans la matière… t’y es entré, mon salaud ! En tout cas, ça m’a donné faim ! Qu’est-ce qu’on mange ? dit-elle en sortant du lit et m’offrant une vue panoramique sur ses fesses rebondies— Toujours aussi romantique, à ce que je vois !— Pour l’instant c’est plutôt mon gros cul que tu mates !— Arrête de te vanter !— Quoi, il est pas gros mon cul ?— J’dirais tout au plus confortable.— Tu veux aussi mater mes kolossales doudounes ? Elle se retourne et se tortille donnant à ses seins un comique mouvement de balancier. Deux seins plantureux, mais sans démesure, aux aréoles haut placées que la gravité entraîne vers le bas. Deux seins que j’ai envie de toucher, de presser l’un contre l’autre, mais Kim a faim et ventre affamé n’a pas de libido. — Tu manques vraiment de modestie ! Ils ne sont pas petits, mais de là à dire qu’ils sont gros.— En tout cas, j’ai les plus gros de la famille…— T’as pas de mal ! Comparés aux citrons de Mai (et donc de sa mère), elle énonce une évidence. Elle est vraiment pas faite comme sa sœur : plus ramassée plus, trapue dotée de formes plus voluptueuses. Mais s’il y a des fausses maigres, elle est une fausse grosse. Pas une once de graisse, ni de cellulite, un ventre plat et une toison brune très ...