Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
... pelouse anglaise. — J’ai faim ! Elle se dirige vers la porte et sans hésitation entre dans la pièce à vivre. — Brrr ! Fait pas chaud dans ton couloir.— Non, j’ai quand même des possibilités de chauffage limité. J’avais prévu du champagne, dis-je en lui désignant la table où les cadavres des deux flûtes baignent dans une mare de vinasse. Mais comme tu vois, j’étais trop pressé de te voir alors bonjour la casse.— Ça me dérange pas trop parce qu’après le rodéo qu’on vient de se payer, y’m’faudrait autre chose que quelques bulles.— T’en fais pas, y’a ce qu’il faut. Pendant le repas, nous discutons de tout et de rien. Nous attendons le dessert pour lever les derniers doutes. J’avais repris contact avec elle dès le début de l’année. Nous avions régulièrement eu de longues discussions au téléphone. Je ne lui avais rien caché de mon réveillon cochon. Malgré cette confession, notre complicité n’avait cessé d’augmenter. Il était vite devenu évident que le départ de Mai pour la Chine n’avait pas été la cause de notre « dérapage » et que nous ne voulions pas passer à côté de ce que nous avions entrevu. Seul bémol quand nous évoquions sa sœur, je sentais toujours une certaine réticence, un certain malaise dans ses réponses. Quand je lui dis que j’avais supposé, outre le fait qu’elle n’était pas persuadée de ne pas jouer les doublures, qu’elle avait l’impression de faire un enfant dans le dos à sa sœur, elle éclate de rire. — C’est presque ça ! mais c’est Line qui t’a fait un enfant !— ...
... Quoi ?— Elle a rencontré quelqu’un et est enceinte. Ça me mettait mal à l’aise surtout au début. Quand effectivement, je pensais être une doublure. Elle avait peur que ça me peine, alors que j’en suis simplement heureux pour elle. Soulagé, car moi aussi je culpabilisais. Mai Line, lui a aussi confié avant qu’elle ne parte que si elle me rendait malheureux, elle aurait affaire à elle. — Parce que tu lui as dit qu’on…— Non bien sûr. J’étais pas vraiment fière de moi. Mais je n’ai pas eu vraiment besoin de lui dire.— Quoi ?— C’est une des raisons de son départ pour la Chine. L’autre étant que vous vous éloigniez l’un de l’autre. Elle avait compris avant nous ce qui se passait. Elle voulait nous laisser le champ libre.— C’est une sacrée bonne femme.— Normale, c’est ma sœur. Tu regrettes ?— Non, dans des conditions normales, nous étions trop différents. Mais je n’oublierai jamais. Aujourd’hui la femme que je veux, c’est toi !— Donc aujourd’hui ta bonne femme sacrée, c’est moi, dit-elle, abandonnant sa chaise pour venir s’asseoir sur mes genoux. Elle m’enlace et nous voilà partis pour un nouvel exercice en apnée. Exercice efficace, car rapidement ma bite tente de se mettre au garde-à-vous. Elle n’y parvient pas, stoppée par une cuisse importune. Kim se rend compte de la situation et, bonne fille, se déplace et en profite. Elle s’assoit à califourchon sur moi. D’une main sûre, elle s’empare de mon membre bien raide et se l’enfourne sans autre forme de procès. Je tente un : — Tu ne ...