Les deux veuves
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
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cérébral,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... de la maison, pris entre sa femme et sa maîtresse. Même si chacune connaissait l’existence de l’autre. C’était pendant le repas qu’il avait compris que les deux femmes étaient de mèche. Qu’elles se connaissaient et qu’elles avaient parlé ensemble de leur situation. Il était surpris et inquiet, Eugène, qui avait pensé maîtriser un tant soit peu la situation. Mais il était en train de constater que cette situation, qu’il n’avait ni souhaitée ni véritablement voulue, lui échappait totalement. Il n’avait plus aucune maîtrise sur le réel. Face à la connivence féminine, à cette collusion, il devait baisser les bras, crier « pouce », mais c’était trop tard ! Le repas s’était passé fort civilement, au grand soulagement d’Eugène. Il s’était attendu à tout instant à ce que les deux femmes en viennent aux mains ou ne se crêpent le chignon. Un peu rasséréné, il sirotait son café dans son verre et s’apprêtait à aller faire la sieste dans sa chambre, comme chaque dimanche. Soudain, il avait entendu Alice, sa femme - sa propre femme ! - lui proposer de se faire accompagner, pour ce rituel, par Mathilde ! En entendant ces mots, il avait failli avaler la fin de son café de travers et s’était étouffé. Il était même devenu rouge et de grosses gouttes de sueurs étaient montées à son front. Mais que pouvait-il dire ? Refuser ? Non, il était bel et bien piégé. En bougonnant, il s’était alors lourdement levé de table et avait précédé Mathilde vers la chambre. Mathilde, en sortant, avait adressé ...
... un clin d’œil en direction d’Alice. Mais ça, Eugène, ne l’avait pas vu. En arrivant pour la première fois dans la chambre conjugale de son amant, Mathilde l’avait longuement observé. Il était soudain gêné, empoté comme un jeune collégien qui amenait pour la première fois sa petite amie dans le lit de ses parents, en leur absence. C’était elle qui s’était approchée de lui pour l’embrasser à pleine bouche, glisser sa main sur sa poitrine et défaire un à un les boutons de son gilet puis de sa chemise. C’était elle encore qui avait défait sa ceinture de flanelle, puis son pantalon et, quand il avait atterri à ses pieds, elle s’était agenouillée devant lui et avec une grande délicatesse l’avait taquiné avec sa bouche. Bien entendu, Eugène avait cherché à éviter un tel contact, ayant peur qu’Alice n’ouvre la porte et ne le surprenne ainsi. Mais, devant l’insistance de Mathilde, son jeu de langue et de bouche, il ne s’était pas beaucoup défendu. Mathilde prononça cette dernière remarque sur les jeux érotiques qu’elle avait dispensés à Eugène dans la chambre maritale, en baissant la voix et les yeux, seulement soutenue dans son récit par les doigts d’Alice. Puis elle marqua une pause. Alice en profita pour réoccuper le terrain du récit et en reprendre le fil. C’était bien dans cette posture qu’Alice les avait trouvés. Mathilde aux genoux d’Eugène. Eugène, la tête renversée en arrière et les mains agrippées à la chevelure de sa maîtresse. Il en avait fermé les yeux de plaisir et de ...