Extraits du journal de Marianne
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
Partouze / Groupe
fsodo,
... Donne-toi à lui de toute ta force et joui pour toutes ces nuits où je ne t’ai pas donné d’orgasme. Et lundi nous nous reverrons. Que lui répondre ? Mes lèvres parlent pour moi : — Lundi tu te déposeras à nouveau dans ma gorge. Ne connais-tu pas le plaisir que tu m’as donné ainsi ? Et quand tu pourras m’enculer de nouveau je te le dirais.— O K ! Mais avant, comme au début, ton mari devra te prendre par derrière soir et matin Extrait n° Quinze Joie de retrouver Marc et ses caresses sur mes seins, de renouer avec le plaisir grâce à lui, de lui donner pendant quelques jours mon anus dont il use avec délicatesse et plaisir. Joie de rencontrer régulièrement Pierre en semaine, son amour étrange et inquiet, un peu macho. Puis, depuis que je le lui permets de nouveau, de ressentir ces mystérieux orgasmes qu’il me donne en m’enculant à sa façon. En bref, joie d’appartenir à ces deux hommes, Marc l’elfe léger de l’amour, toujours attentif, adapté à toutes les situations, inventif et gai, Pierre le professeur aimé, si fragile du haut de ses grands airs et que mon amour semble changer. Sais-tu Marc, combien il est étrange pour une femme d’être sodomisée (ou enculée, aussi bien) et d’en jouir. Lorsque, vous, les hommes vous pénétrez notre vagin, c’est votre affaire en quelque sorte. Notre corps ne vous offre pas vraiment d’obstacle. Par derrière, par contre, nous devons nous ouvrir et cela ne dépend pas vraiment de notre volonté. Avec toi, mon corps met longtemps à se détendre. J’adore ...
... ces moments où tu cherches à convaincre mon corps de t’accepter et par dessus tout, cet instant précis où je m’ouvre à ton sexe. Je ressens une joie indicible, prélude à l’orgasme que tu me fais atteindre lentement. Avec Pierre, mon corps s’ouvre de lui-même presque immédiatement et je suis prête à le recevoir sans préliminaires ou si peu. Et l’orgasme est brutal, destructeur. Tu vois, c’est comme si j’étais deux êtres, fille et garçon à la fois. Ce bonheur je le dois à toi, mon amour inspiré qui me l’a permis. Mais tout bonheur a une fin, dit-on, et je sens petit à petit Pierre plus nerveux, insatisfait malgré les satisfactions que lui donne son étudiante. Notre travail avance admirablement mais il devient plus professeur qu’amant. Depuis quelques temps, pendant nos tête-à-tête de plus en plus rapprochés, il me prend moins souvent, rapidement. Toujours aimable compagnon, ce n’est plus vraiment un amant. Extrait n° Seize Je sais maintenant pourquoi ! Pierre me demande de vivre avec lui tout le temps, il ne veut plus me partager. Et pourtant il sait combien j’aime Marc. Il y un mois, il m’a dit : — Marianne, cette semaine tu ne feras pas l’amour avec Marc. Il pourra te caresser mais il ne devra pas te pénétrer. J’ai sursauté mais, croyant à une de ces directives qu’il aimait à me donner, je lui ai obéi. Au grand dam de Marc qui, cependant, a respecté ma volonté. À vrai dire il en a profité pour me donner maints orgasmes rien qu’en me caressant, en particulier les seins, et je ...