1. un transport VIP inattendu. (1)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... de ta part, mais ça va aller. Cela faisait deux ans que nous faisions équipe sur le même avion, et quand je changeais d’appareil pour les besoins du travail, Nathalie suivait. C’était une pro de l’aviation civile : elle avait occupé le poste de chef de cabine sur un A320 de la compagnie Air France, et lorsqu’elle avait accouché de sa fille elle avait démissionné pour pouvoir s’occuper de son enfant. Son mari était commandant de bord sur un triple sept dans la même compagnie qu’elle et était affecté sur un long-courrier : cela veut dire qu’il n’était pas souvent à la maison. Quand sa fille eut 10 ans, elle avait repris du travail au sein de notre compagnie en qualité d’accompagnatrice navigante car elle s’ennuyait ferme, seule dans sa grande maison. Nous avions l’avantage, chez nous, de ne pas voler tous les jours mais ponctuellement, faisant face à la demande. Notre employeur avait trois avions d’affaires : un triréacteur Falcon de chez Dassault, un King Air 350 de chez Beech et un Cessna Citation 550X, avion d’affaires de luxe. Il pouvait se passer une semaine sans que nous prenions l’air, mais quand la clientèle avait réservé un vol, le secrétariat nous appelait par téléphone. Je me rendais alors à l’aéroport pour prendre les directives et déposer mon plan de vol. Nathalie arrivait pour commander les boissons et les en-cas au fournisseur de l’aéroport puis, ceux-ci livrés, elle se chargeait de les ranger dans les placards et casiers prévus à cet effet à bord. Nous nous ...
    ... respections, mais une sincère camaraderie s’était installée entre nous. Je lui faisais confiance car elle était consciencieuse dans son travail, respectueuse des protocoles en vigueur. Jamais un mot déplacé, jamais le ton plus haut que la normale, même lorsque certains « clients incultes » se croyaient autorisés de par leur potentiel financier à user de paroles ou de gestes déplacés. Elle me respectait également : j’étais le boss, et j’avais 26 ans de plus qu’elle ; j’aurais pu être son père. J’avais dû insister pour qu’elle s’autorise à me tutoyer en privé, mais devant les clients, c’était du « Commandant » en veux-tu et du « Commandant » en voilà ! Je venais de terminer mes « écritures » et me levais du siège de pilote pour ranger mon classeur dans la mallette sur roulettes qui m’accompagnait à chaque vol, là où étaient rangés les documents de l’avion, de la compagnie, mes licences, agréments et fascicules de procédures en cas d’urgence lorsque j’aperçus Nathalie de dos. Elle était courbée pour ramasser quelque chose sur la moquette. Elle ne pliait pas les genoux pour s’accroupir comme il était conseillé de le faire dans le manuel de la « parfaite hôtesse de l’air » mais était pliée en deux au niveau de la taille. La position plus qu’inconfortable avait par contre un avantage non négligeable pour le voyeur occasionnel que j’étais à cet instant précis: elle relevait la jupe très haut sur les cuisses et j’apercevais un petit bout de culotte noire. Je détournai mon regard, gêné, ...
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