1. un transport VIP inattendu. (1)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... douces et chaudes. Elles avaient encore la senteur du rouge à lèvres qu’elle devait sans doute utiliser pour les peindre et qu’elle avait enlevé avant de prendre sa douche. Nos bouches s’entrouvrirent pour laisser passer nos langues qui commencèrent leur danse savante et sensuelle. Sous la serviette de bain, mon sexe se dressa. Nathalie dut s’en apercevoir puisqu’en m’embrassant elle avait plaqué son corps tout contre le mien. Mes mains lui caressaient le dos. Elle le creusait sous mes caresses en incrustant encore plus son ventre dans le mien. Elle passa ses mains entre nous pour défaire le nœud qui maintenait ma serviette éponge sur ma taille ; elle tomba sur la moquette. Elle se dégagea de mon étreinte et se laissa glisser vers le sol jusqu’à avoir ma verge à la hauteur de son visage. Elle la prit avec la main et... — Tu es Juif ? — Non. Pourquoi cette question ? — Parce que tu es circoncis. — J’ai été opéré d’un phimosis étant gosse ; pourquoi, ça te gêne ? — Absolument pas ; c’est la première fois que je vois un sexe circoncis, voilà tout. Ce n’est pas commun. Sur ces mots elle tira sur la peau pour bien faire ressortir le gland qui déjà laissait perler une goutte de ma liqueur de désir. Elle la lécha puis engloutit ce gland qui avait enflé et était devenu presque violet sous l’action de l’excitation. Je sentais sa langue s’enrouler autour de la couronne, suivre le sillon du frein tout en aspirant. Je n’en croyais pas mes sens, je n’en croyais pas mes yeux ! Allez, je ...
    ... devais être en train de rêver et j’allais me réveiller comme à l’accoutumée dans mon lit trop grand pour moi tout seul. Lorsqu’elle s’était accroupie, le drap de bain qui ceignait sa poitrine s’était dénoué et gisait à ses pieds. Je voyais pour la première fois ses seins fermes et droits, en forme de demi-melons aux mamelons granulés, terminés par des tétons érigés comme deux tétines pour bébé ; des tétines que je voulais sucer, caresser, téter, les sentir durcir dans ma bouche, sous ma langue... Nathalie continuait à me sucer, à m’emmener dans un voyage pour lequel je n’allais pas tarder à décoller. Il y avait trop longtemps que l’on ne m’avait pas fait l’amour : je n’allais pas pouvoir résister longtemps. — Je ne vais pas pouvoir résister longtemps, Nathalie... — J’y compte bien ! Je t’interdis de me résister. Laisse-toi aller. Viens. Je te veux. Je veux te goûter. D’une main elle se tenait à ma cuisse et de l’autre elle me caressait les bourses. Elle engloutit ma verge à moitié. Sa bouche était chaude et accueillante. Sa langue continuait à s’amuser avec mon gland. J’avais l’impression de voguer sur un petit nuage rose. (Tiens ! Pourquoi rose ? Ça ne fait rien, je n’efface pas.) Je sentais un bien-être indéfinissable monter du périnée vers mon sexe. Nathalie s’en rendit sûrement compte car elle engloutit totalement ma verge au fond de sa bouche, les 17 centimètres de mon membre qui s’était durci à en exploser, comme si elle voulait totalement l’avaler. À présent elle avait ...
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