1. un transport VIP inattendu. (1)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... sous-vêtements propres, et rapidement tout nu je passai sous la douche... une douche spa : quel bonheur ! L’eau chaude aspergeait par à-coups mes cervicales ; rapidement je me sentis fatigué mais soulagé. Je me mis à me remémorer la situation dans le taxi avec Nathalie ainsi que notre conversation ; une érection me prit. Depuis longtemps je n’avais pas ressenti mon sexe se réveiller de cette façon-là. Oh, il n’est pas excessivement long : en pleine érection, il mesure dans les 17 cm de long et, à vue de nez, dans les 15 cm de circonférence. Il y avait longtemps qu’il n’avait pas donné du plaisir à une femme... Mes rapports sexuels de couple, pour des raisons de santé, étaient totalement inexistants, et cela depuis cinq longues années. Bien sur, j’y pensais. J’avais envie d’une femme, j’avais envie de recevoir ses caresses comme de lui en prodiguer, mais je ne fonctionne pas comme un avion : je ne m’élance pas à toute vitesse sur la piste aussitôt que l’on pousse les manettes N1 à fond. Il y a des paramètres dans mon cerveau ; il y a des conditions à respecter. Il faut que la femme me plaise aussi bien physiquement que psychiquement ; il faut qu’elle m’inspire de la tendresse, de la douceur et me fasse comprendre que je ne lui suis pas indifférent, que j’ai accès à sa sensualité, qu’elle ne ferme pas la porte... et cela, je ne l’avais pas encore ressenti jusque dans le taxi. Est-ce que je n’étais pas en train de me méprendre sur l’attitude de Nathalie ? Est-ce que je ne me ...
    ... prenais pas à fantasmer sur cette compagne de travail ? C’était une pente dangereuse. La sonnerie de mon téléphone portable retentit dans la chambre. Je l’avais posé sur la table de chevet à côté du lit. Je sortis de la cabine de douche tout ruisselant, m’enveloppai la taille dans une serviette de bain de l’hôtel et, le dos tout mouillé, j’allai prendre le portable. L’écran indiquait « Nathalie ». Je décrochai. — Oui ? Nathalie... — Je te dérange ? — Non, je sortais justement de la douche. — Tu as vu ? Il y a une porte communicante entre nos deux chambres. — Non, je n’avais pas vu. — La clé semble être de ton côté. — Où veux-tu en venir, Nathalie ? On est en train de jouer avec le feu, là ! — J’aime jouer avec le feu... — Nathalie ! — Oui Adam ? — Nous avons 25 ans de différence. Je pourrais être ton père... — Primo, tu n’es pas mon père ; secundo, notre différence d’âge, je m’en contrefiche ! Ouvre. J’ai quelque chose d’important à te dire. J’allai vers la cloison qui séparait nos deux chambres. Une tenture masquait la porte de communication ; une clé était dans la serrure. Je la tournai. Nathalie poussa la porte, et elle apparut face à moi seulement revêtue d’un drap de bain qu’elle avait noué au-dessus de sa poitrine. Ses cheveux étaient défaits et coulaient sur ses épaules. Ses yeux brillaient. Elle avança vers moi, les deux mains en avant et me poussa à l’intérieur de ma chambre. Ses bras se nouèrent sur ma nuque et sa bouche vint se coller à la mienne. Ses lèvres étaient ...
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