Un week-end torride. Samedi
Datte: 02/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
parking,
amour,
volupté,
Masturbation
Oral
jeu,
yeuxbandés,
ecriv_c,
... excité. Un hochement de tête et un sourire entendu me répondent, puis je sens sa main progresser sur mon pantalon, s’arrêter sur le zip de la braguette… et deux doigts fureteurs chercher à le faire glisser. — Laure ! Je conduis ! Arrête !— Tais-toi… murmure-t-elle, tais-toi. Le bruit du zip qui coulisse lentement me provoque un choc, sa main qui s’introduit ensuite, un énorme frisson… et une érection garantie ! — Tu es chaud, c’est doux… chuchote-t-elle en me massant doucement à travers le slip, m’agaçant de ses ongles, tirant sur le tissu, jouant avec l’élastique. Il était temps ! Je me gare dans mon parking souterrain, silencieux et désert à cette heure là. Voiture à peine arrêtée, Laure bondit au dehors et vient m’extirper vigoureusement de mon siège. Elle rit, les yeux gourmands et d’un geste attaque ma ceinture. Sa bouche me mord les lèvres et dans un souffle elle me jette : — Là, sur le capot, baise-moi… viens ! Viens vite ! Surpris, ahuri, je la vois retrousser sa robe et s’appuyer ventre sur la voiture. Dans la lumière blafarde, le tableau est dantesque. Ses fesses juste séparées par le léger string dont les paillettes brillent comme autant de diamants, ses cuisses ouvertes soulignées par la bande jarretière des bas, d’où un léger ruissellement s’échappe et luit ! Elle me tire par une main, impatiente. D’une voix rauque elle insiste : — Jean-Pierre, allez, viens ! Quand elle m’accueille, string repoussé, dans un gémissement, c’est de la soie, de la soie humide et ...
... chaude, avec des palpitations internes de son tunnel en feu… « Où a-t-elle appris ça ? » pensé-je le sexe en fête. Rapidement ses râles augmentent, amplifiés en échos par les murs en béton du parking. La lumière s’éteint, et dans l’obscurité, après un violent sursaut des reins, se cramponnant des deux mains à plat sur la peinture lisse du capot, elle laisse aller sa jouissance, sans crier, dans un long feulement de gorge. À mon tour je la rejoins dans le plaisir, me lâchant dans son ventre, les mains crispées sur ses fesses, en plusieurs jets victorieux. Impressionnant, comme ça, dans ce sous-sol ! Comme deux bêtes ! Toujours dans le noir, essoufflés, nous restons ainsi quelques instants, reprenant nos esprits, ses fesses remuant, me cherchant encore. Enfin elle se relève, me faisant face, assise, sur l’avant de ma voiture. Ses bras m’attirent, sa bouche chaude et haletante cherchant le baiser, tandis que d’une main elle me saisit le sexe, reprenant à pleine paume un malaxage savant, comme pour en extraire complètement tout ce qui pourrait rester de jus… — Oh ! souffle-t-elle, qu’est-ce que tu m’as mis ! Je dégouline ! C’était bon, hein ? J’en pouvais plus… tu m’as excitée comme jamais !— Laure… murmuré-je, tu me fais faire des choses ! Et si quelqu’un était arrivé !— Justement ! J’avais très peur… ça m’a excité davantage ! o-o Nous montons chez moi et, dans l’ascenseur, elle se montre à nouveau conquérante. — Encore ! gémit-elle en se frottant, on recommence ? Oh ! là, j’en ai ...