1. À deux pour une collègue


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, Collègues / Travail gros(ses), hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo,

    ... sais, le soir, je dîne avec mes collègues et puis ensuite dodo…— …— Pffffitt, tu sais bien que je ne suis pas comme ça…— …— Tu veux dire mes collègues ? Est-ce qu’ils m’ont encore draguée ? Bien sûr, ils n’arrêtent pas, et ils me parlent sans cesse de sexe, ils sont encore plus cochons que toi…— …— Bien sûr que je me laisse tripoter, je ne fais que ça. Et cet après-midi, ils m’ont baisée chacun leur tour sur la photocopieuse. J’étais couverte de sperme…— …— Pense ce que tu veux, puisque ça t’excite de les imaginer en train de me baiser… En tout cas je suis certaine qu’ils ont des bites moins grosses que la tienne et qu’ils me feraient moins bien l’amour, chaton. Puisqu’elle nous provoque, nous la basculons sur le lit et nous nous occupons à nouveau d’elle. Son mari n’est apparemment pas décidé à raccrocher. Excité par son film porno, il a très envie de parler sexe avec sa moitié. Nous, ça ne nous gêne pas, du moment qu’on participe… S’il savait ce qu’elle est en train de faire. — Cela fait très longtemps que tu ne m’as pas prise par là… En plus tu es con, car tu sais que j’aime ça.— …— Oui, je te dis, sur la photocopieuse, je les ai tous les deux sucés et ils m’ont sodomisée… Ça me donne des idées, je glisse sous ses grosses cuisses pour lui lécher l’anus. Martial, de son côté, se fait vaguement lécher la queue. Il lui enfonce dans la bouche à chaque fois qu’elle arrête de parler. — Ohh oui, chéri, c’est cela, ta grosse cochonne s’est fait prendre en sandwich…— …— Tu entends ...
    ... du bruit près de moi ? Elle nous fait signe de nous taire. C’est vrai que Martial a tendance à faire du bruit. Il n’est pas très discret. — Peut-être dans la chambre d’à côté… Non je te jure, je suis seule.— …— Oui, je suis une grosse vicieuse, oui, je suis une petite pute… Imagine que, là, je suis en train de sucer la queue du gros Martial et que Jean-Claude me doigte le cul… Et c’est ce qu’elle fait, elle embouche la queue de mon collègue tandis que je lui lime le cul avec les doigts… C’est une invitation, je remets une autre capote et m’enfonce en elle comme dans du beurre, elle a le cul large et accueillant et visiblement, elle apprécie cette sodomie, car elle laisse échapper un gémissement. — Ohhh oui, chéri, tu as raison, je voudrais qu’ils me passent tous dessus, et même le grand patron… Une grosse partouze à la boîte où je sucerais toutes leurs grosses triques…— …— Oui ta femme a le feu au cul, oui ta femme est une vraie salope, je ne rêve qu’à ça, me faire baiser dans tous les sens, par tous tes potes…— …— Oui ça m’excite, oui je me branle, oui j’ai envie d’avaler tout ton foutre… Vas-y, crache ta laitance, imagine que je suis devant toi et que tu m’en mets plein la figure… Ah, vas-y c’est trop bon.— … Mais ce qui est surtout trop bon pour elle, ce sont mes coups de bite qui vont et viennent entre ses reins. Elle porte la main à sa chatte et se frotte comme une furie en gémissant des mots obscènes. Son mari est aux anges et la traite de tous les noms. Ils finissent ...
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