1. À deux pour une collègue


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, Collègues / Travail gros(ses), hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo,

    ... par jouir de concert tous les deux ce qui me fait venir dans le cul de la belle. Martial n’est pas en reste, il branle sa trique comme un damné devant le visage de Gilberte et finit par jouir à gros bouillons sur la figure de notre collègue qui s’en lèche les babines. Alors que la tension retombe, son mari croit de nouveau entendre du bruit. — Non chéri, je te jure, je suis seule… Mais jurer c’est trois fois mentir. Il lui a bien semblé pourtant entendre un bruit. S’en suit alors une scène assez pitoyable où le couple s’engueule. Juste après l’amour, ça la fout vraiment mal. Gilberte nous repousse et va se réfugier dans la salle de bain pour être seule à seul avec son homme. — Putain, quel panard, me dit Martial. Tu as vu cette cochonne comment elle cocufie son mec.— Je crois que c’est fini pour ce soir, dis-je en me rhabillant. Il me semble qu’après cette scène de ménage, ça va casser l’ambiance. Il faut lui laisser le temps de se rabibocher. Je quitte alors la chambre sans demander mon reste, Martial décide, de son côté, de rester et d’attendre le retour de Gilberte. Il a encore envie de tirer sa crampe, comme il dit. ----------------- Le lendemain, au petit déjeuner, mes deux collègues se font la tête. Apparemment, ça s’est plutôt mal passé. J’apprendrai par la suite qu’après sa dispute téléphonique, elle n’avait plus du tout le cœur à l’ouvrage. Martial a insisté, lourdement, comme à son habitude, il a même essayé de la forcer un peu et elle a fini par le virer. En ...
    ... attendant, l’ambiance est glaciale, malgré tous mes efforts pour détendre l’atmosphère. La journée tout entière sera à cette image, triste et pourrie, notre bonne entente n’y est plus et, pour notre dernier soir, Gilberte décide même de prendre le dîner toute seule dans sa chambre. Après un billard un peu bâclé, je retourne dans mes apparts, laissant Martial avec deux hommes d’affaires belges qui semblent un peu pompettes. Je suis presque endormi quand le téléphone se met à sonner : — Je peux venir ? demande Gilberte. Pour le dernier soir, j’ai très envie qu’on passe la nuit ensemble, avoue ma collègue, et j’ai très envie de me faire baiser. Je l’accueille avec plaisir. Elle arrive en chemise de nuit. Elle semble encore plus chaude que la veille. Elle m’entraîne direct sur le lit, se déshabille d’un geste et, le temps pour elle de m’enfiler un préservatif, elle s’embroche direct sur ma queue. Elle a déjà la chatte toute poisseuse, toute pleine d’envie. Elle est très excitée. — Ah, comme c’est bon de se faire baiser, avoue-t-elle en s’empalant. Ahhh, putain, ce que j’aime ça ! Elle se déchaîne sur ma queue, ses gros seins libérés ballottent de toutes parts. Visiblement, elle en veut, elle me baise à coups de reins puissants et elle jouit comme une damnée… — Maintenant, encule-moi, quémande-t-elle. J’ai à peine repris mes esprits qu’elle tend son gros derrière. Elle aime la sodomie, elle aime que je l’encule. ----------------- Depuis, nous nous revoyons de temps en temps avec ...
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