Lubéron, terre de calme et de sérénité
Datte: 15/06/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
inconnu,
grossexe,
vacances,
campagne,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
coprolalie,
confession,
totalsexe,
occasion,
bourge,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... revérifié, par un baiser baveux sur la bouche. Mon mari venait d’arriver. Nous nous sommes longuement embrassés. Il était visiblement ravi d’être là, et vous me croirez ou pas, j’étais heureuse moi aussi. Au retour de notre dîner en ville, il m’a gentiment fait comprendre qu’il était fatigué. Souvent, cette excuse, c’était moi qui la sortais. C’était une façon élégante de dire non, de repousser à plus tard. J’ai presque été vexée de son refus lâche. — Mais mon chéri, on ne s’est pas vu depuis une semaine !— Je sais que tu veux faire l’amour juste pour me faire plaisir. Pas pour te faire plaisir à toi. Tu sais, t’es pas obligée.— J’ai envie de toi…— Je n’en crois rien. Mon mari était assis dans le canapé, l’air désabusé et inquiet. Je me suis mise devant lui, debout, et tout doucement je me suis débarrassée de mes vêtements. Ses yeux, interrogatifs d’abord, sont devenus brillants. Il ne comprenait visiblement pas ce sketch que je lui faisais. C’était la première fois… Une fois nue, je me suis caressée devant lui en le regardant dans les yeux. D’abord les seins, puis le ventre. J’ai passé une main derrière moi pour me toucher les fesses pendant que mon autre main écartait mes lèvres intimes pour qu’il puisse voir l’humidité de ma chatte. Il a souri, s’est détendu. — Eh bé ! Ça te réussit, une semaine de vacances !— J’arrête ?— Surtout pas. Tu es magnifique. Tu ne m’avais jamais fait ça. Je peux me masturber en te regardant ?— Mais je t’en prie, mon amour. Sors ta queue. ...
... Branle-toi !— Mais comment tu parles… C’est nouveau, ça.— J’ai lu dans un magazine que les hommes aiment les mots crus. Et on est entre nous. Alors fais pas ton bourge. Montre-moi ta grosse queue ! Il était cette fois dubitatif mais s’est exécuté. Sa chemise et son pantalon sont partis rejoindre les chaussettes au sol. Il a plongé une main dans son boxer sans vraiment oser se caresser. — Bon, tu le vires, ce slip ?— …— Humm, tu bandes pour mon cul ?— Je bande pour toi, mon amour.— Branle-toi ; j’aime regarder.— …— Oui, astique-toi bien la queue, mon amour. Je vais te sucer après.— Me sucer ? Mais tu refuses, d’habitude.— Aujourd’hui, c’est pas « d’habitude ». Je vais te sucer ta grosse queue. Montre-moi comme tu bandes bien, mon amour— … Je me suis agenouillée devant lui pour le pomper, ne le laissant quasiment pas respirer. J’avais passé une main sous ses fesses pour lui caresser l’anus. Un temps réticent, il a fini par se laisser faire. J’en ai profité pour lui mettre un doigt. — Tu me fais mal…— Détends-toi.— Mais tu n’as jamais fait ça.— J’en avais envie.— Ça fait drôle…— Ah bon ? Tu me le feras après ?— Mais tu as toujours refusé ça que je te touche là.— Peut-être, mais aujourd’hui j’en ai envie. Viens me lécher le cul. Je me suis mise à quatre pattes au sol, le cul en l’air. Il n’en croyait pas ses yeux. Sa femme, si prude et timide, qui lui tendait son abricot trempé et en plus son œillet interdit ! J’ai eu droit à ses doigts, longuement, puis à ses doigts, tendrement. — Tu ...