1. Lubéron, terre de calme et de sérénité


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grossexe, vacances, campagne, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, totalsexe, occasion, bourge, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... veux m’enculer ?— Je suis sidéré !— Pourquoi ?— On dirait que tu veux que je te fasse tout ce que tu as toujours refusé. Qu’est-ce qu’il t’arrive ?— Il m’arrive que j’en ai marre d’être bien élevée. J’en ai marre de laisser le plaisir aux autres. J’en ai marre de la morale. J’ai envie que tu m’encules. Alors, tu le fais ou pas ? Il a semblé hésiter, puis s’est approché doucement, la queue à la main, pour présenter son gland devant mon anus. Quand il a poussé, j’ai fait semblant de souffrir ; mais mon plaisir, lui, n’était pas feint. Ce n’était pas un gamin bien monté qui s’introduisait dans mon cul, mais un homme, mon homme, doux et délicat, amoureux et attentif. Il me tirait sur les tétons en pressant son bassin contre mes fesses, visiblement trop heureux d’enfin pouvoir me prendre comme ça. Nous avons joui ensemble, heureux. Autant Joël pouvait recharger en quelques minutes – c’est le privilège de la jeunesse – autant mon mari avait besoin de temps pour revenir de ses émotions. Ce temps, bien employé à me caresser, je l’ai aussi utilisé pour lui passer ma langue partout. Quand je suis arrivée à son anus, il n’a même pas eu l’air surpris. Plutôt gêné. Mais ses borborygmes et son souffle chaud m’ont montré qu’il aimait ça, lui aussi. Et d’ailleurs, ça l’a remis en forme. Nous avons fait l’amour, cette fois de façon plus, disons, conventionnelle. Ce n’en fut pas moins bon. Ça faisait au moins 15 ans que nous n’avions pas fait l’amour deux fois dans la même journée, alors j’ai ...
    ... bien senti qu’il se posait des questions. Quand il est parti satisfaire un besoin naturel, je me suis inquiétée quand même un peu. Comment lui expliquer ce changement dans mon attitude, le fait que j’aie retrouvé mes envies de jeunesse, le fait que je veuille qu’il me sodomise, le fait que je lui lèche l’anus ? Il est arrivé, l’air hagard, un poing fermé. — C’est quoi, ça ? me dit-il en tenant une culotte du bout des doigts, le bras tendu vers moi.— Euh… on dirait une culotte. Ça vient d’où ?— J’ai trouvé ça sur l’armoire des toilettes en cherchant un rouleau neuf. Qu’est-ce qu’elle fait là ?— J’en sais rien. Montre.— …— Ce n’est peut-être pas à moi. Je ne sais pas.— C’est une de tes culottes, Christine ; je la reconnais. Peux-tu m’expliquer ce qu’elle faisait sur l’armoire ?— Oh, c’est bon. J’en sais rien, je te dis. Et qu’est-ce que ça peut faire ?— Ce que ça peut faire ? Et explique-moi aussi pourquoi elle sent le sperme à plein nez ; et à qui appartient ce sperme, pendant qu’on y est. Je suis restée interdite, incapable de dire quoi que ce soit. Un moment, j’ai cru qu’il allait se ruer sur moi, m’insulter, et pourquoi-pas me frapper. Non. Il s’est assis, les mains sur les genoux. — Je comprends pourquoi tu as changé de comportement. Tu as un amant, c’est ça ?— Non. Pas exactement.— C’est bien ta culotte ?— Oui.— Elle sent bien le sperme, non ?— Oui.— Explique-moi. Je veux savoir.— Écoute…— Explique-moi !— Oh, c’est un cinglé qui est passé par ici mercredi. Il m’a obligée ...