Lubéron, terre de calme et de sérénité
Datte: 15/06/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
inconnu,
grossexe,
vacances,
campagne,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
coprolalie,
confession,
totalsexe,
occasion,
bourge,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... dormir ; je suis cuite. Demain, grasse mat, et j’irai faire quelques courses. Après, piscine et repos.— …— OK mon chéri. Passe une bonne nuit. On s’appelle demain ?— …— Moi aussi je t’aime. Bisous.— C’était votre mari ?— Oui.— Vous ne lui avez pas dit que j’étais là…— Quel intérêt ? Tu seras reparti avant qu’il n’arrive.— Oui. Dès ce soir.— Mais reste donc dormir…— Je vous baise, alors ?— Ça recommence…— Excusez-moi, Christine. J’adorerais vous faire l’amour.— Voilà qui est mieux ; mais un peu juste…— J’aimerais vous prendre dans mes bras, sentir votre peau contre la mienne, vous caresser, effleurer vos seins, goûter votre intimité, puis vous ouvririez les cuisses pour me montrer votre fleur ouverte ; j’y glisserais mes doigts tout doucement, je la flatterai de ma langue. Vous verrez, elle est douce, ma langue. Puis… Tout en parlant, il s’était approché de moi, tout doucement. Il a ouvert ses bras pour que je m’y réfugie, et pris mon visage entre ses mains pour me regarder droit dans les yeux en me disant : « Et je vous aimerai comme on aime une femme du monde, avec tendresse, avec délicatesse. » Je me suis sentie fondre. Il m’a embrassée longuement ; je ne me suis pas dérobée, mais j’avais du mal à faire preuve d’enthousiasme. J’étais un peu coincée. Il a décollé sa bouche pour me fixer à nouveau, une main tenant mon menton, l’autre se dirigeant vers mon sexe. — Mais si vous préférez, je peux aussi vous baiser. Les dernières syllabes sont arrivées alors que ses doigts ...
... avaient déjà trouvé le chemin ; un chemin il est vrai assez touffu, mais ô combien chaud et humide. Sentir ses doigts me pénétrer m’a fait ouvrir la bouche. Il en a profité pour m’y enfoncer sa langue, forçant un peu ma nature comme il forçait ma chatte en feu. Je ne pouvais même pas protester à sa dernière demande, me contentant de bruits de gorge incompréhensibles. Il a dû comprendre « oui », et je n’ai plus touché terre. Je me suis retrouvée à genoux devant la grande armoire, le cul en l’air, et Joël entre mes cuisses derrière moi qui avait remplacé ses doigts par sa queue. Je n’ai pas eu le temps de m’habituer ; pas l’envie, peut-être aussi. Il m’a remplie d’un coup, énergique plus que brutal, et j’ai compris ce que « baiser » voulait dire. Jusque-là on m’avait fait l’amour ; là, il me défonçait, plus préoccupé par son plaisir que par le mien, me claquant les fesses avec force. Il me faisait mal, mais plus je me sentais proche d’être déchirée, plus j’écartais les cuisses pour qu’il ne s’arrête pas de me maltraiter. Dans le miroir de l’armoire, le spectacle irréel qui s’offrait à moi aurait pu me dégoûter pour ce qu’il avait de bestial : une femme de mon âge, avec les seins qui tombent, avec des vergetures visibles, des traits altérés par le temps, quelques rides, les lèvres amincies… et derrière, un jeune musclé, beau comme un dieu si on fait l’effort d’oublier ses piercings et ses tatouages. Un jeune qui semble prendre un pied terrible à me claquer le cul, et qui continue de ...