1. Le Réveil


    Datte: 13/07/2018, Catégories: fh, extracon, copains, hdomine, vengeance, Oral

    ... un peu plus bas, tandis que sa main convergeait lentement vers le point qu’il convoitait depuis qu’il avait passé le seuil de la porte. Un peu prise de court, je me raidis un peu et me mis à observer les phalanges épaisses qui voulaient se glisser sous mon soutien-gorge. Il n’hésita pas même une seconde avant de passer le bout des doigts sous le satin. Mon petit cœur s’affola et cogna contre ma poitrine pour crier « Réveille-toi, ma grande, bouge, ne te laisse pas faire, défends-toi ! ». Sa paluche me palpait déjà le sein, menu mais rond et ferme, avant que j’eusse le temps de protester. Yannick malaxait sans gêne mon demi-melon alors que j’associai son geste avec celui qu’on exécute lorsqu’on choisit des fruits, pour vérifier qu’ils sont prêts pour la dégustation. Ça n’était pas pour me gratifier d’un massage, mais bel et bien pour déterminer si ma poitrine était aussi délicieuse que supposé. Il paracheva son exploration en me pressant distraitement le téton. Et pour parfaire ma comparaison, il ajouta : — Tu as bien mûri, belle Nathalie.— Merci. Je ne pouvais pas regarder cet homme directement, mes yeux fuyaient tout contact avec les siens. Malgré ma contrariété, je le laissai pétrir mon sein, tout mon corps était devenu un réceptacle à sensations. Et je ne voulais pas que ça s’arrêtât. Yannick retira la main de mon sous-vêtement pour attraper la bière qu’il avait entrepris une nouvelle fois de changer de côté. Bien que son coude resta disposé autour de mon cou, je ...
    ... ressentais à peine le poids de ses muscles sur mes épaules. Ma vue partiellement voilée par le cylindre métallique, j’aperçus ses autres doigts, de nouveau libres, baisser la braguette de son pantalon. Grâce une étonnante agilité, il sortit son membre avec une précision que n’inspirait pas sa nonchalance. Il avait déjà fait ça auparavant ; là-dessus, je n’avais plus à en douter. Il rompit le silence d’une voix tremblant d’excitation, qui confirmait la jubilation devinable d’un coin de l’œil sur sa figure. — Nathalie, tu peux le constater, tu n’es pas la seule qui a pris des formes à certains endroits intéressants. Regarde mon sexe… gémit-il. Je ne savais pas pourquoi je n’esquissai aucune réaction, en revanche j’avais conscience de ne pas avoir envie de le voir stopper. Il y avait cette étrange alchimie érotique entre nous, inexplicable, qui continuait d’œuvrer. J’étais submergée par des désirs qui noyaient ma raison. Le phallus de Yannick se dressait contre son bas-ventre, très rigide et long. Le manche, presque aussi épais que mon poignet, se terminait par un gland aussi gros et appétissant qu’un kiwi. Je suis sûre que le bout atteignait le nid douillet du nombril par-dessus le tee-shirt. Je ne m’opposai pas à la main libre qu’il croisa devant son torse pour la poser sur ma tête. Tout en m’attirant vers son giron, Yannick s’ouvrit de nouveau. Le bras qui manipulait la canette retourna sur le dos du divan, les cuisses s’écartèrent en angle obtus et le dos rond s’enfonça ...
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