Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... que vous me serriez contre vous. Monsieur le maire, évidemment, ne résiste pas à cette supplique et m’accueille tendrement sur son torse. Ses bras m’emprisonnent et son cœur bat follement la chamade. Puis-je l’admettre, il me semble que le mien, non plus, ne fait pas relâche. J’aime son étreinte ferme, j’aime ces sentiments de plénitude et de protection qui me font redevenir enfant dans la chaleur musclée de son enlacement. Je trouve cela si envoûtant que je me sens fondre, que mes jambes s’amollissent au point de ne plus me soutenir, et, le comprenant, il m’entraîne vers les fauteuils qui décorent l’angle de son bureau où nous nous asseyons l’un en face de l’autre tandis qu’il enferme mes mains dans les siennes. — Tu sais ma vie sentimentale a été bien fruste. J’ai adoré mon épouse mais un accouchement très difficile lui ôtant toute possibilité de concevoir à nouveau ultérieurement, puis le décès de cet unique enfant l’ont transformée. Peu de temps après, sans que l’on puisse établir un lien de stricte causalité, elle a sombré dans une anorexie sévère dont elle est en définitive décédée. Toutes les dernières années, elle ne supportait plus que je la touche autrement que pour quelques câlins innocents et légers. Et voilà que je devrais remettre ça avec toi, m’astreindre à ne te caresser que du regard ! Comprends mon calvaire. Tu vas m’objecter qu’Orianne m’apporte d’autres satisfactions. Je l’ aime bien, en effet, cette petite, c’est-à-dire que je ne l’ aime pas et qu’elle ...
... se méprend quant à elle, en pensant m’aimer alors que je ne fais que la consoler de la trahison de son ex-galant. Pauvre Albin, tout à la fois paternel et éveillant en moi une fibre maternelle encore insoupçonnée. Il est digne et désespéré et j’éprouve une franche compassion à son égard. Je ne peux m’empêcher de l’ébouriffer en un mouvement rapide dont j’effleure ses cheveux. C’est le geste de trop ! De trop ? Quand j’abaisse mon bras, il le happe au passage et y porte sa bouche pour le couvrir de baisers alliant fougue et respect. Il tremble, me jette de petits coups d’œil furtifs et suppliants afin de quémander le misérable droit de m’honorer de la sorte. Où sont donc monsieur le maire et sa belle prestance ? J’avoue toutefois qu’ainsi vulnérable, il est fort touchant et réveille tant ma vanité que ma pitié et des idées autrement friponnes. Tout en lui abandonnant l’une de mes mains, je me glisse du fauteuil vers le sol pour me mettre à genoux devant lui et ouvrir sa braguette de l’autre. Il tressaille et hurle : — Non Valérie, ne fais pas ça ! mais ne tente rien qui puisse m’en dissuader. Je me souviens des sentiments qui m’animaient lors de cet exercice pratiqué sur le sexe de Georges, excitation certes, crainte surtout et pas mal de dégoût. Aucun rapport avec ce qui se passe présentement où toute notion d’humiliation s’est dissipée et je brûle de le gratifier d’une fellation dans le but de le distraire de ses noires pensées et de consolider mes apprentissages passés. ...