Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... L’organe que j’extrais de son pantalon est remuant comme un animal qu’on vient d’extirper de sa cage et bien que déjà de belle taille, il se déploie lestement entre mes paumes. À l’opposé de son propriétaire, il ne manifeste, ni contrariété, ni remords, et frétille de l’aubaine qui l’attend. — Non Valérie, reprend-il comme un refrain, je t’en supplie, mesures-tu toutes les conséquences de ton comportement ?— Peut-être pas, mais je souhaite ardemment te réjouir afin d’accéder à mon contentement à travers le tien. Abandonne tes tristes idées de mesure, si pour ma part je veux bien mesurer, c’est un étalon plus tangible qui me servira d’unité. À partir de cet instant monsieur le maire devient Albin pour moi et du vous, je fais tu. Son engin que j’enserre de toute ma ferveur s’allonge et se durcit, se gonfle et se renfle. Mes répugnances anciennes ont disparu, se sont mêmes converties en attirances. Je le titille du bout de ma langue et l’allégresse que je dispense en violace l’extrémité. Je l’embouche en m’appliquant à bien le comprimer de mes lèvres et ajoute aux succions de ma bouche le coulissage d’un anneau réalisé avec mes doigts dont j’étrangle cette vipérine bête. L’animal reptilien se cabre et Albin vitupère dans un langage salace qui n’est point apanage de maire. J’aime l’onctuosité de son gland, dont je soigne particulièrement le méat qui distille quelques larmes de fluide enchanté. Je resserre mes adulations et me risque, sans récalcitrance, à jouer les gorges ...
... profondes. Ce n’est finalement pas si laid un sexe d’homme ! Moins beau toutefois que l’origine du monde à condition qu’on n’ait pas infligé à celle-ci de déforestation abusive car si je reste amatrice des jardins à la française je veux, que comme tout jardin des délices, il reste arboré. Ses tressaillements m’apprennent qu’il est au bord de l’éjaculation et il tente de m’écarter pour m’épargner cette avanie mais une idée unique me domine : profiter jusqu’au bout du plaisir que je lui donne. Deux, trois fois encore je le pompe, il n’y tient plus et sa pression sur mes épaules s’accentue, je me recule juste suffisamment pour voir sa semence gicler. J’ouvre la bouche qu’il asperge généreusement et son foutre déborde, s’étale aux commissures de mes lèvres, dévale le long de mon cou en un long torrent incandescent. J’avale et me refuse à essuyer les traînées adventices qui me maquillent de sa jouissance. Il me demande de me dénuder, car l’autre soir, débordé par ses fièvres, il n’a pas su m’apprécier dans toute ma magnificence, n’a pas pu se régaler de toute l’harmonie de mes perfections, de toutes ces fraîcheurs qui le font rêver. L’exercice est difficile, vais-je l’accompagner de déhanchements lascifs comme une professionnelle ou me découvrir sagement à l’égal d’une jeune fille de bonne famille. Je n’aspire nullement au titre des premières et j’opte pour un déshabillage paisible, tel que je le pratiquerais chez moi dans l’intimité de ma chambre. J’en ralentis néanmoins l’exécution ...