Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... afin de lui conférer toute son ampleur. Dès que j’ai enlevé mon chemisier, il entonne ce qui sera son leitmotiv : — Dieu, que tu es belle ! J’ai une petite réticence en ce qui concerne Dieu, mais j’admets que celui ici évoqué soit Éros. Tranquillement et très naturellement je retire mon soutien-gorge. Le regard qui dévore mes appâts est si aigu qu’il me transperce et mon immodestie dès lors m’étourdit. Selon l’habitude, je dorlote légèrement mes seins que je viens de délivrer de leur carcan ce qui m’arrache un gros frisson voluptueux que cette situation d’exhibitionniste renforce encore. Je déguste comme toujours ce tribut dont je récompense mon buste qui réveille ce frémissement, courant à fleur de ma peau, et dont je me grise. — Tu veux les caresser ?— Non, je préfère que ce spectacle garde toute son irréalité, je me sens, ici et ainsi, plus au paradis que je ne le serais au Moulin Rouge. Je déboucle la ceinture de ma jupe qui s’écoule à mes pieds. Comme hier, j’ai conservé mes bas impeccablement tendus par le porte-jarretelles et je me demande s’il ne va pas s’étouffer, lorsque dressée sur la pointe de mes pieds, j’effectue deux virevoltes sur moi-même lui révélant en vraie grandeur les grâces de mes guibolles, de mon ensellure, de mon popotin, de mon giron et d’autres accessoires. Je me saisis d’un dossier que j’improvise éventail, destiné à l’enrober de mes effluves. Horripilant ma peau de son léger courant d’air, il en fait valoir la finesse et lui en laisse présumer ...
... la douceur. Il est rouge comme coquelicot, mon Albin. Je m’approche de lui, mais d’un signe, il m’invite à reculer tout en marmonnant une dixième fois au moins : — Dieu, que tu es belle ! Je fais alors glisser ma culotte lentement, interminablement le long de mes cuisses et de mes jambes puis me redresse en lui exposant mon vison que je coiffe d’un geste frivole. — J’aimerai que maintenant ce soit toi qui achèves de me vêtir du costume d’Ève.— Comment ne pas se plier à caprice aussi affriolant ! me répond-il. Il se met à genoux devant moi, empaume et manipule mes fesses, applique sa bouche sur mon pénil qu’il combure de son haleine. Tout en dévotion, mon Albin est aux anges de sacrifier ainsi à de charnels démons. Il essaye ensuite de défaire mes jarretelles et là, je m’amuse car il tremble tant d’excitation contenue que ses doigts malhabiles dérapent, s’embrouillent et ce qui devait arriver se produit, il disloque l’un des caoutchouteux tétons. — Oh… le vilain garçon qui brise ses plus beaux jouets. Laisse-moi faire, lui dis-je, et occupe-toi de mes arrières dont le relief régulier est plus facile à taquiner. Je n’ai pas plus tôt détaché la ceinture de mes bas et avant que je ne retire ceux-ci, qu’il m’attire et me couche sur l’épaisse moquette. S’il s’est montré malhabile avec moi, il est prompt à se déshabiller, à peine gêné et garde slip et pantalon roulés sur les chevilles. Toujours à genoux il me parcourt d’une multitude de petits baisers affectueux de la tête aux pieds. ...