Les émois de Valériane - 2/3
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... Bien entendu des régions profitent plus que d’autres de cette manne et il se fait par bonheur que nous nous entendons magnifiquement sur leur choix, que ce sont celles que je lui dédie, où naissent mes voluptés et qui sont sa récompense. J’apprécie à sa juste valeur cet hommage tendre et tandis qu’à présent, il s’active sur mes tétons, je cherche son phallus pour le branler délicatement. Très vite ce sceptre récupère autorité, consistance et vigueur ce qui se traduit par une accélération du rythme respiratoire d’Albin et le rend à mesure plus entreprenant. Le voilà bientôt pourvu de trois bouches et de dix mains qui titillent mon cou, mes oreilles, ma gorge et dont l’une, enfin, s’égare jusqu’à Cythère que baignent tous les sucs de mon être, toutes les sèves de mes rêves. M’accompagnant d’un râle grave, j’écarte les cuisses pour marquer mon zèle et mon empressement. — Doucement ma belle, rien ne presse et je veux dignement célébrer chaque parcelle de ton corps. En effet, il prolonge ses caresses au-delà du supportable. Ces doigts légers et ignés qui papillonnent, ses lèvres torrides qui me dévorent me soumettent ensemble au supplice du gril. C’est magique et féroce, énervant et divin, divinement énervant. L’attente devient intolérable, je me trémousse, me vrille, me secoue et finis par me mordre les poignets. J’admire aussi sa maîtrise retrouvée, il flâne en délicieux préliminaires là où Thomas se serait hâté de conclure. Sa langue, calmement, s’introduit dans ma fente, ...
... sans voracité, timide presque. Elle vient saluer la capsule de chair largement ouverte puis sa bouche aspire mon tendre bouton. Je tressaute, elle le suce, je me cambre, elle le roule, je délire, elle le mordille. Ses mains agacent voluptueusement mes seins graciles et en excitent les tétins, je ne sais trop comment mais jamais ceux-ci ne se sont aussi fièrement érigés. Je n’y tiens plus, mes transes augmentent au fil des secondes et je rugis d’impatience quand enfin, très progressivement, son sire me pénètre. Je me cabre et me déhanche tout à la fois pour mieux me l’arroger et accélérer sa prise de possession. Je sens sa lente avancée dans mes chairs brûlantes et, m’accrochant aux épaules de mon amant, j’implore : prends-moi, prends-moi vite. Lui, le monstre, à l’encontre de cette prière, se retire et multiplie ses effleurements qu’il concentre dans mon entrecuisse, sur mes lombes et mon ventre en évitant soigneusement le triangle sacré. Il poursuit ces manœuvres jusqu’au moment où écumante, n’en pouvant plus, c’est moi qui le couche sur la moquette assez brutalement et m’enfourche sur son épieu. Je me rends compte que c’est ce qu’il souhaitait et nous nous délectons tous deux de ma prise de pouvoir. Je savoure surtout de sentir l’imposante colonne s’enfoncer dans mes chairs avides et inondées. Je m’emballe dans une chevauchée débridée qui fait danser mes seins, les distendant et les comprimant en cadence et leurs rebondissements dans ces mouvements endiablés me procurent des ...