Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (5)
Datte: 03/08/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
copains,
profélève,
école,
volupté,
BDSM / Fétichisme
Oral
fsodo,
journal,
... deux seins, s’amusant à en faire dresser les mamelons sous l’effet d’une excitation que je contrôlais de moins en moins. Mes jeunes amants se comportaient avec moi sans vulgarité : ils baisaient leur prof, mais ils rendaient aussi un culte à leur idole, leur idole de chair. Stéphane hurla de bonheur en se répandant en moi, je reçus au même moment dans ma bouche l’hommage de Franck, une semence chaude et épaisse dont je ne perdis pas une goutte et dont je sentais encore l’odeur mâle lorsqu’à mon tour, je me brisai convulsivement, me tordant sur le canapé, traversée de milliers d’ondes, submergée par un raz-de-marée de plaisir… Nous voilà tous trois, affalés sur la moquette, nus et pensifs, silencieux. Qu’est-ce que j’avais fait, quelle folie m’étais-je laissé entraîner à commettre ? Mais est-il seulement possible de le regretter ? je me sentais si bien, si mystérieusement bien, entre ces deux jeunes hommes nus à qui j’avais donné du bonheur… Nous nous tenions la main, provisoirement éloignés de nos fièvres, sans parler. Mais, quand une dizaine de minutes se furent écoulées dans ce recueillement, je ne pus m’empêcher de demander, lançant ma question en l’air pour qu’elle retombe sur mes deux amants : « Ce sera la première et la dernière fois, n’est-ce pas ? » — Mais c’est horrible, ce que vous dites ! répondit Stéphane, à ma droite.— C’est une demande, ou une crainte, Valérie ? répliqua Franck, fine mouche, à ma gauche.— Les deux, je crois…— Ainsi, nous savons maintenant le ...
... goût que vous avez, et vous voulez déjà nous en priver ?— Si c’est la dernière fois, alors ce ne sera pas de notre fait. Ne comptez pas sur nous pour vous laisser tranquille… Les deux garçons s’étaient de nouveau collés à moi. À dix-huit ans, un jeune homme n’est pas long à recouvrer sa force, et je sentais déjà contre mes cuisses et sur mes hanches les verges revigorées de Franck et de Stéphane. « Déjà… ? », soufflai-je, mi-taquine, mi-coquine. Mais que pouvez-vous encore désirer ? — Mais tout, tout, simplement tout, répondit Franck. Ce que nous avons déjà eu, et dont nous avons encore envie. Ce que nous n’avons pas encore eu, et à quoi nous aspirons, ponctua-t-il avec un sourire. Il était monté sur moi, me caressait le visage en parlant, avait placé son sexe entre mes deux cuisses, que je serrai comme un étau… — Veuillez disposer…— Disposer de vous ?— Mais il est tard, je dois rentrer, mon mari… m’attend !— Très bien, vous avez gagné, dit-il en s’arrachant brutalement à mon étreinte, je m’en vais, allez rejoindre votre cher mari qui sans doute se meurt d’impatience ! Plaisantait-il ou était-il vraiment en colère ? J’eus soudain peur qu’il parle sérieusement, je me levai à mon tour pour lui demander de m’excuser… « Non, ce n’est pas ce que je voulais dire, Franck… » Je n’avais pas besoin de m’expliquer ; plus rusés que je ne le présumais, ils avaient parfaitement compris. C’est moi qui, debout, me retrouvai soudain prise en étau : Stéphane face à moi, Franck dans mon dos. Sa ...