1. Héloïse, ou les chemins de traverse (2)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: fh, fhh, alliance, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fist, double, fdanus, fsodo,

    ... sérénité, mais nous savions l’un et l’autre que le temps du sursis était engagé. Nous refaisions certes l’amour – comme avant. Avant François. Jamais plus je n’ai sodomisé Héloïse, jamais elle ne m’a sollicité en ce sens. Un soir, pourtant, alors que nous venions de faire l’amour, c’est elle qui, à l’improviste, m’a déclaré : — J’ai envie de ta main dans moi. Je l’ai regardée, éberlué. Elle a poursuivi : — J’ai envie de sentir toute ta main dans mon ventre. Comme une naissance à l’envers. Je veux que tu me reviennes. Elle a ouvert le tiroir de sa table de nuit, en a sorti un tube de gel – je n’ai jamais su ni où ni quand elle se l’était procuré : ce n’était assurément pas le genre de produit qu’on trouvait à l’épicerie du village. Peu importe. Elle m’en a enduit la main, m’a regardé, puis s’est couchée sur le dos. Les jambes repliées de part et d’autre de sa poitrine, elle m’offrait une vue fabuleuse sur son sexe et son anus. J’avais beau être quasi au bout de mon désespoir, effectuer seul, jour après jour, une espèce de chemin de croix intime, je restais fasciné par le corps de ma femme. Son sexe rose s’entrouvrait, l’étoile plissée palpitait doucement. Pour moi. Pour moi ? J’aurais tant voulu le croire ! — Viens, me dit-elle. Je t’attends. Sans rien dire, j’ai entrepris de la caresser, de l’ouvrir : un doigt, deux doigts, puis un troisième. La chatte d’Héloïse s’ouvrait, m’accueillait sans difficulté. J’eus bientôt mes cinq doigts en elle, le pouce replié à l’intérieur ...
    ... de ma main. — Continue. Viens plus loin, m’encouragea-t-elle.— Tu n’as pas mal ?— T’inquiète pas pour moi. Viens, mais viens donc ! Je te veux, tu comprends ? Je te veux, insista-t-elle. Alors, sans réfléchir davantage, j’ai forcé. Et ma main entière a disparu dans le vagin d’Héloïse. Je la sentais comprimée entre les parois. J’ai fait tourner mon poignet, tenté d’ouvrir les doigts, de les écarter. C’est moi qui maintenant voulais l’habiter toute ! — Attends, m’a-t-elle demandé. Ma femme s’est alors retournée, ma main toujours profondément enfoncée en elle. Elle s’est installée, genoux très écartés, m’a tendu son cul magnifique. Le sang battait à mes tempes, des délires rageurs se bousculaient en moi. — Branle-moi, maintenant. Branle-moi avec ta main. J’ai regardé ce corps fabuleux qu’elle m’offrait comme jamais elle ne me l’avait offert. Je ne savais pas si, à d’autres occasions, elle en avait fait profiter un autre, ou si cet autre avait obtenu d’elle ce qu’elle me donnait aujourd’hui. Le fantôme de François revint hanter mon esprit bouleversé. Alors, je l’ai branlée avec une violence qui m’a surpris. Je suis sûr qu’elle souffrait mais à aucun moment Héloïse ne s’est plainte : de nous trois, c’est bien elle qui était la plus forte et là, elle se servait de moi pour exorciser son passé. Est-ce pour cela ou grâce à cela qu’elle a autant joui, inondant ma main et mon poignet ? Comment l’aurais-je su puisqu’elle n’en a rien dit ? Elle est restée là, haletante, mais son silence ...