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La vie d'avant (2)
Datte: 03/11/2018, Catégories: Erotique,
... petits coups de reins dans mon gosier. Il ne me tient plus nulle part, se replonge simplement entre mes cuisses alors que je le suce avec ardeur c’est ensemble que nous soupirons désormais. Je sens couler mon ventre, entre sa salive et mes sécrétions, je suis trempée. Lui a maintenant le bout décalotté et la texture de cette bite que je câline des lèvres et de la langue me rend dingue. Je me tortille sous ses effleurements buccaux auxquels il a maintenant adjoint ses doigts. Il me frotte seulement le clitoris d’un index expert. Et je me dis que je suis perdue cette fois. Nous ne parlions pas jusque-là et le fait de m’adresser la parole vient de rompre un certain charme. — Tu aimes, ça on dirait. — ... ! — Je peux te prendre ? J’ai envie de te baiser... — Non ! Je ne l’ai jamais fait ; je suis vierge... j’ai peur. — Ne t’inquiète pas... je serai doux comme... Les mots se perdent dans le retour de sa bouche sur ma chatte. Il se remet en mouvement et il se crispe un peu alors que sa bite s’enfonce rageusement dans mon gosier. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Une longue giclée d’un liquide pâteux vient de m’éclater dans la gorge. Lui grogne et je sens qu’il serre ses cuisses autour de ma tête, m’interdisant de la sorte de reculer. Une, puis deux ou trois autres rasades m’envahissent la bouche et je dois avaler ce sperme qui sort de sa queue. Il frémit encore quelques secondes et d’un coup il respire mieux, plus calmement. — Si tu savais... ça fait si longtemps que je n’ai pas ...
... fait cela. — Cela ? — Oui, me libérer dans une bouche de femme. J’adore ta pipe. Tu suces divinement. Tu ne veux pas que nous fassions l’amour ? — J’ai peur vous comprenez ? Ce serait la première fois et... — Je serai doux, gentil, calme, je te ferai cela comme un homme, avec amour... alors tu veux ou pas. — Je... je ne sais pas. Je ne dis plus rien, déchirée entre des milliers de sensations contradictoires. Si seulement il n’avait rien dit, qu’il m’ait prise gentiment, sans parler. Mais le fait de m’avoir interpellé a réveillé cette peur qui s’était tue en moi. Et je ne sais plus si je dois avancer ou reculer. Il m’a remis sur le ventre et à califourchon sur mes jambes, il me masse lentement le dos. Ses mains vont de ma nuque à mes fesses, s’attardent un instant entre les deux, avant de revenir vers mon cou. Il refait durant de longues minutes ces massages savoureux. Je me laisse à nouveau bercer à ces contacts d’une grande tendresse. Maintenant sa main écarte délibérément les deux sphères de mes fesses. Il se penche en avant et sa langue s’enfouit entre les deux globes entrouverts. Je sens ce picotement de la pointe de la langue qui... enduit mon anus de salive. Elle est vite remplacée par un doigt qui sans à coup se met en devoir de forcer le muscle. Lentement, tout doucement, la première phalange franchit la barrière de cet interdit et elle tourne en moi sans vraiment me faire mal. Puis une autre aussi est plantée plus avant dans la grotte. Il lui faut un temps infini et des ...