-
La vie d'avant (2)
Datte: 03/11/2018, Catégories: Erotique,
... tonnes de calme pour que l’endroit soit finalement totalement investi. Il ne bouge plus, se contentant de rester là immobile, mais fiché dans mon derrière. Je le sens qui bouge seulement son corps. Il est venu s’allonger sur moi délicatement. Et le doigt qui me hante prend le chemin de la sortie. Mais je le sens qui revient à nouveau tout tranquillement. Ce n’est que lorsque ses deux mains se posent sur mes épaules, que je comprends que ce qui est en moi n’a rien d’un index ou d’un majeur. La seule idée que je suis sodomisée me fait mouiller au possible. C’est d’un coup moi qui remue la croupe. Alors il ne se prive plus de rien. Au rythme de mes hanches qui se secouent, il s’efforce de répondre par des mouvements synchronisés. Notre duel dure un long moment et quand il se remet à genoux, c’est pour me demander de prendre la même position. C’est fait. Je suis à quatre pattes devant lui et il entre en moi par l’entrée des artistes. Il me lime longtemps, sans vraiment avoir de difficultés pour garder la cadence, mais surtout, il ne me fait absolument pas mal. Je suis maintenue par les hanches alors qu’il reste le ventre collé à mes fesses. Sur ma fente je sens battre les petites bourses velues de l’homme qui me sodomise. Cette idée me fait partir pour un voyage des plus fous. Mon ventre reçoit les signaux émis par mon cerveau et je brûle de cette jouissance inouïe qui s’étiole en milliers de spasmes. Je ne suis plus qu’une boule de jouissance, une salope qui se laisse faire. ...
... Quand Adrien éjacule une seconde fois, c’est dans mon anus qu’il le fait et puis sa queue mollit rapidement, quittant son repaire humide alors que nous sommes allongés l’un contre l’autre. Alors que je suis prête pour un assaut final, c’est lui qui n’est plus en mesure de sonner l’hallali. Si je ne suis plus vierge, ce n’est qu’analement et je ne sais si je dois être accablée ou soulagée d’avoir échappé à ce déniaisement attendu. Le sommeil qui nous gagne tous les deux efface les souvenirs autant que les attentes. Demain sera un autre jour... mais je reste... avec mes vingt ans, comme neuve ! — oooOOooo — Un bristol avec dessus une adresse et un numéro de téléphone passe du stylo de ce cet homme à la main de mon amie. Le carton glisse ensuite de la patte de Louisa à la mienne et c’est dans mon sac qu’il atterrit. Ce Claude est charmant. Son café est atroce, mais lui a un sourire qui rassure. Et je ne sais pas pourquoi, mais je sens s’appesantir sur les courbes de l’épouse de Julien des yeux masculins qui s’y plaisent. Elle ne remarque sans doute rien, remplie de l’amour de son beau mâle. La poignée de main que nous donne, lors de notre départ, le garçon solitaire est franche, sans ambiguïté. — Merci de votre visite et à bientôt peut-être ? — C’est nous qui vous remercions pour votre accueil. — Oui ! Merci pour le café et encore bravo pour ce que vous avez accompli ici... — Ah ! N’oubliez pas... madame... je ne vous rien dit sur Anicet... Nous nous sommes bien compris ? — Oh, ...