1. L'histoire de Géraldine


    Datte: 17/11/2018, Catégories: f, ff, copains, gros(ses), grosseins, telnet, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... main à sa bouche, ton regard passe par dessus vos têtes : il ne faudrait pas qu’il te fasse le baise-main sans un toit au-dessus de vos têtes, sinon, quelle manque de bienséance ! Tu te rends compte que vous êtes, tous deux, devant la porte de ton appartement… C’est à toi qu’appartient la décision d’entrer ou non. Tu sais qu’il est encore trop tôt, mais, tu sais aussi qu’il ne t’en voudra pas si tu refuses, n’est-ce pas ?…— Oui, je le sais… Mais, il est mon ami… Le seul ami-garçon que je n’ai jamais eu !… Alors, j’ouvre la porte et je nous entraîne à l’intérieur.— D’accord… Mais, c’est important : c’est toi qui dois lui montrer jusqu’où tu veux aller… Tu as conscience de sa présence à tes côtés ?— Oui.— Maintenant !… Ferme les yeux, et écoute la chanson. Quand tu dormiras, tu pourras rêver… Ton rêve n’appartient qu’à toi et tu peux faire absolument tout ce dont tu as envie… Veux-tu entendre la chanson ?— Mmmh… Le lendemain, quand elle m’a demandé comment je savais tout ça, je lui ai juste répondu : — Mais, je ne sais rien !… Tu as tout fait toute seule… rien de ce que j’aurais pu inventer n’aurait pu approcher ce que tu étais la seule à connaître !… Je n’ai fait que te montrer le chemin.— Je ne comprends toujours pas ?!— Ecoute… tu t’es endormie et moi, j’ai continué de chanter, même pendant que tu dormais. Je t’ai conduite au seuil de ton sommeil, et tu as franchi le pas sans t’en rendre compte, et tes oreilles ont continué de m’entendre… C’est assez difficile à expliquer ...
    ... mais, pour simplifier, c’est comme si j’avais partagé ta couche et que tu en avais conscience… Maintenant, peut-être as-tu envie de me raconter ton rêve ?!— Ben, un peu, oui !— D’accord, mais dans quelques jours, parce que la "magie" va encore fonctionner deux ou trois fois. J’aimerais plutôt te poser une question…— Vas-y, je t’écoute !— Je meurs d’envie de te voir !… Et toi ? En fait, je n’ai fait qu’affirmer l’envie qu’elle n’avait osé s’avouer la nuit précédente. Sa réponse n’en fut pas vraiment une : — Ho !— N’oublie pas que c’est seulement ta décision !… D’ailleurs, tu peux réfléchir aussi longtemps que tu le veux, et je ne t’en voudrais pas, de refuser, donc, aucune pression !…— Non ! Je… j’ai ENVIE de te voir… tout de suite, si tu veux !— Je suis désolé, Géraldine, tout de suite, ce n’est pas possible. On habite à un peu moins de 200 Kms l’un de l’autre. Et puis, je travaille tous les jours… Écoute, c’est mardi, aujourd’hui, c’est parfait ! Cela te laisse trois jours entiers jusqu’à vendredi. Tu pourras réfléchir.— Mais, je ne veux pas réfléchir !— Géraldine, arrête !… Tu te rends compte de ce que tu me dis ?… Calme-toi, je t’en prie !— Ah non, tu ne vas pas t’y mettre comme Chantal ?! Là, ses paroles exprimaient un caprice… ou la colère. De toute façon, rien qui ne me plaise, alors, j’ai murmuré, pour qu’elle m’écoute : — Géraldine, mon ange, tu ne voudrais pas que je croie que tu es une gamine de dix ans qui pique une crise, n’est-ce pas ?… Alors, tu dois comprendre ...