1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... envisager telle situation. S’il voyait sa jeune femme suivre de son plein gré, esclave consentante, ce couple pour des ébats qui ne peuvent qu’être chauds. Encore une fois je me sens coupable. Une trahison. Mais qui trahit l’autre ? Il aurait dû comprendre. Lui aussi a été excité par la piscine cet après-midi. J’ai bien vu qu’à un moment il bandait, alors qu’Anne et son mari déambulaient nus devant nous. Trop tard. Déjà on franchit le seuil de l’autre chambre. Déjà Anne me guide vers le lit. Elle m’y pousse. Elle m’y fait allonger. Me reprend afin que je m’installe exactement comme elle veut. En travers du lit. La tête au bord, à la limite du vide. Je suis redevenue son jouet. Tous deux sont près de moi. Ils écrivent des mots d’amour sur mon corps. Quatre mains me caressent. Un doigt recueille de la salive au bord de mes lèvres pour tirer des arabesques sur mes seins. Bien vite, je ne sais plus qui de l’homme ou de la femme joue avec mes sens. Je ne suis que chaleur. Sous mes yeux la bite de Franck me provoque. Elle est brillante et a retrouvé sa place. On écarte mes cuisses. Je sens un souffle chaud sur mon intimité. Un souffle persistant et… — Ahhhhh Des lèvres se posent sur ma chatte. Anne. C’est la femme. J’ai encore la bite de l’homme sous les yeux. Lui me caresse les tétons. C’est bon. Une bouche ! Des lèvres ! Une langue ! Anne doit découvrir mon odeur. Je me trahis moi-même. C’est l’odeur d’une femme excitée et non pas celle d’une jeune innocente. On soulève mes ...
    ... reins et on glisse un coussin. Je suis ouverte, offerte. Aucun obstacle ne gêne la course de la bouche. Elle me lèche. Sa langue force ma fente. Ses lèvres découvrent mon clitoris. La bouche l’aspire. C’est bon. Peu de fois mon amant ou mon mari m’ont caressée ainsi. Je me laisse aller. Mais, une main touche mon front. Franck a bougé. Il est derrière moi. Ses couilles sont justes là, bases du poteau dressé. Sa queue se penche vers moi. Mes lèvres en retrouvent le bout. Ma bouche est très vite envahie. Déjà il heurte ma gorge. Ma tête pend dans le vide. Je ne vois plus que les couilles. Il pousse, Il force. Je ne suis plus qu’une gorge que l’homme utilise à sa guise. Jamais on ne m’avait fait cela. Je tousse. Je crache. À chaque fois qu’il retire sa bite de la salive me tombe sur le visage. Très vite je dois fermer les yeux. Ma gorge résonne de clapotis infâmes. Des clapotis que la bite provoque en « brassant » la salive que je ne cesse de produire. — Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. Voilà ce qui sortirait de mes lèvres si je n’étais possédée ainsi. La femme a glissé des doigts dans ma chatte et me branle tout en caressant mon clito. C’est bon. Je sens ma jouissance venir. — Va, mon chéri. Bourre-la bien. Tu en avais envie. Un visage d’ange, tu disais ! Mais qui cache des envies de salope. Le lit bouge. Les yeux humides je devine le corps massif de l’homme qui est penché sur moi. Je sens mes tétons torturés. Par moments, la bite stoppe tout au fond de ma gorge. Les couilles frappent ...