la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... et avec l’extrémité d’une cravache, il soulève ma robe, dévoilant mon mont de Vénus tout lisse. Puis, il glisse la cravache entre mes cuisses, et m’oblige à les écarter. — Je me trompe, ou tu mouilles, petite salope ?, me demande-t-il. Je sens la cyprine perler entre mes petites lèvres, et je préfère ne pas m’en cacher, pour ne pas encourir de punition. — Oui, je mouille. — Tu dois dire : oui, je mouille, mon maître. — Oui, mon maître, j’ai compris. — Bien. Et je vois que tu es déjà bronzée mais qu’il n’y a aucune marque de maillot sur ton corps. Nulle part. Tu as fait des UV, ou tu fais du bronzage intégral ? — Je fais du bronzage intégral, mon maître. — Tu te montres à poil en public ? — Oui, parfois, mon maître. — Carine ne nous avait pas menti. Non seulement tu es une salope, mais en plus tu aimes t’exhiber. C’est ça, Chloé ? — Oui, mon maître, je suis une salope exhibitionniste. — Eh bien, ce soir, tu vas avoir l’occasion de nous montrer jusqu’où tu es prête à aller. Et même au-delà…. Faustine, présente la, et ensuite, installe la ! Elle commence par ôter la courte chaîne qui entrave mes poignets. Mais c’est seulement pour pouvoir m’enlever ma robe, après avoir fait glisser la fermeture dans mon dos. Cette fois, je suis nue. Complètement. Faustine me dirige toujours avec la laisse, elle me fait tourner sur moi-même, devant les deux femmes et les trois hommes, qui commentent crûment mon anatomie, et j’ai de plus en plus honte d’être transformée en simple objet sexuel. ...
... Puis elle me guide vers une partie très sombre de la pièce. Je devine des silhouettes, assises, sans doute des voyeurs, et surtout, je vois des cordes pendre des poutres du plafond, équipées de mousquetons à leur extrémité. Lorsque j’arrive au niveau de ces cordes, deux spots s’allument, dirigés vers moi, et je me retrouve en pleine lumière. Pauline m’enlève ma laisse, et elle accroche le mousqueton d’une des cordes aux anneaux de mes bracelets. Elle règle la longueur de la corde, et mes bras se tendent à la verticale au-dessus de ma tête, les pointes de mes pieds touchant tout juste la sol. Puis elle saisit ma cheville gauche pour la lever, jusqu’à l’horizontale, jambe tendue, et elle la bloque dans cette position avec le mousqueton d’une deuxième corde. Je me tiens sur un seul pied, la corde m’empêchant de perdre l’équilibre. Mes seins se dressent de plus belle, me faisant ressentir plus fortement la douleur provoquée par le poids accroché aux pinces. Ma chatte est largement ouverte, exposée à tous les regards, et je sens les premières gouttes de cyprine couler à la naissance de ma cuisse droite. Mais je ne suis pas au bout de mon inquiétude. Faustine a sorti de je ne sais où un bâillon. Une grosse boule rouge qu’elle enfonce entre mes lèvres, bloquée par une sangle passant derrière ma nuque. Je ne peux plus prononcer une seule parole, même mes cris et mes gémissements de panique sont étouffés. J’ai à peine le temps de voir les femmes et les hommes qui s’approchent, et les ...