la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... silhouettes des voyeurs qui se déplacent pour m’entourer. Faustine masque mes yeux avec un bandeau, et je me retrouve dans le noir absolu. J’entends des chuchotements autour de moi, sans pouvoir comprendre ce qui est dit, mais surtout, des mains commencent à se promener sur mon corps. Surtout sur mes seins, mes fesses, mes cuisses, ma petite chatte. On doit tirer sur le poids accroché à mes tétons, car je sens les anneaux me pincer plus fort. Puis, c’est un objet long, mince et souple qui me frôle. Dans un moment de lucidité et de panique, je réalise : la cravache !… Je sens le contact du cuir sur mes seins. L’extrémité de la cravache tourne autour de mes aréoles pincées, descend sur mon ventre, contourne mes hanches pour taper légèrement mes fesses cambrées, reviens entre mes cuisses. Je devine ce qui m’attend, et la peur me gagne. Je voudrais crier "non", mais le boule qui remplit ma bouche m’en empêche. Et mes tortionnaires le savent, quand ils m’interrogent avec sadisme. — Je crois savoir que cette petite Chloé n’a découvert que très récemment le plaisir d’être fouettée, n’est ce pas ?, me demande une voix de basse qui me semble être celle de "mon maître". Et comme je ne peux répondre que par un grognement sourd, il poursuit : tu n’es pas très en avance, pour une fille qui se veut par ailleurs très affranchie. Ce soir, tu vas savoir ce que c’est que d’être fouettée. Vraiment fouettée. Et je sens la cravache cingler une première fois mes fesses, dans un bruit sec. Mon cri ...
... reste au fond de ma gorge, et un deuxième coup claque, encore sur mes fesses, suivi d’autres. J’ai mal. Bientôt, mon petit cul me brûle, et si je n’étais pas solidement attachée par les poignets, je m’enfuirais. Je continue d’entendre des chuchotements, qui redoublent mon inquiétude : ce n’est que le début ! Que me réservent-ils pour la suite. Une voix féminine s’adresse maintenant à moi. Faustine, ou l’une des deux femmes ? C’est à elle de me frapper. — Alors, Chloé, tu aimes ça, on dirait ? Si j’en crois tes nichons tout durs. Ils ont sans doute envie de goûter eux aussi à la cravache. Je voudrais hurler "non, pas ça", mais encore une fois, je ne peux que proférer un râle. Et la cravache s’abat sur mon sein droit, puis sur le gauche. Son utilisatrice sait parfaitement avec quelle force elle doit me frapper : assez pour me faire mal, mais pas trop, pour que le plaisir me gagne. L’extrémité en cuir fouette mes tétons prisonniers des pinces, et c’est à la fois douloureux et jouissif. Je ne me reconnais plus, et lorsqu’elle s’arrête, je le regrette presque. Mais une autre voix, masculine, s’approche de mon oreille. — Alors, tu y prends goût ?… Laisse moi voir ça. Tu coules comme une salope !! La cravache se déplace entre mes cuisses. Elle a écarté mes petites lèvres, et l’extrémité dégage mon petit bouton. Je suis au bord de l’orgasme, et je prends conscience de la cyprine qui coule sur la cuisse qui me supporte. Un premier coup de cravache s’abat sur la naissance de ma cuisse, ...