la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... là où la peau est la plus douce et la plus sensible. Le cuir, trempé de mouille, me fait mal, et le bâillon ne parvient pas à étouffer totalement le rugissement que je pousse. Là encore, mon tortionnaire sait doser mon supplice. Il fouette mes cuisses, mes petites lèvres, glissant doucement la cravache dans ma fente entre deux séries de coups. Et d’autres l’ont rejoint. Ils ont sans doute des fouets, car je sens des lanières frapper mes fesses, mes reins et ma poitrine, pendant qu’il continue de s’occuper de mes cuisses et de ma chatte. J’entends autour de moi, des cris, des rires, des encouragements, et la honte me submerge. Mais en même temps, un plaisir inconnu me gagne, des spasmes secouent mon ventre, et je jouis. Interminablement. Je gicle si fort, que personne ne peut ignorer ce qui m’arrive, couronnant mon humiliation publique. Aussitôt, les coups cessent, et on m’enlève mon bandeau. On a placé un grand miroir sur pied devant moi, et je me découvre, horrifiée. Nue, bâillonnée, pendue littéralement par les poignets et une cheville. Mon maquillage qui a coulé sur mon visage ravagé par la douleur et par le plaisir. Et puis surtout, ces marques de cravache et de fouet sur mes fesses, ma poitrine, mes cuisses… Ohlala. Faustine me détache enfin, et m’enlève mon bâillon. Je sais que cette séance d’initiation n’a pas duré assez longtemps pour être déjà terminée, et la peur m’étreint de nouveau. Quelle va être la suite ? C’est une des deux femmes qui m’apporte la réponse. — ...
... Nous allons te conduire dans le parc, et t’y "lâcher". Tu seras notre gibier, Chloé, et nous serons deux groupes de chasseurs : d’un côté, ces trois hommes, Marc, Frédéric et Benjamin ; de l’autre, trois femmes. Faustine, Julie (c’était la deuxième femme assise à table) et moi, Clotilde. Le groupe qui te capturera décidera de ton sort, suivant son bon plaisir. C’est encore une fois Faustine qui me prend par le bras, et me guide à travers un dédale ce couloirs et de pièces vers le parc qui entoure la demeure. Il fait nuit noire. Il a plu récemment. L’air froid de la nuit sur mon corps nu me fait frissonner, et mes seins, toujours pincés, pointent de plus belle. Je vois les deux groupes de chasseurs nous rejoindre, et me contempler, en imaginant sans doute ce qu’ils vont me faire subir, s’ils me capturent… Et je découvre que chaque groupe dispose d’un chien de chasse, auquel on fait renifler ma robe ! Je n’ai aucune chance de leur échapper... Faustine me fait enlever mes chaussures, pour éviter que je me torde les chevilles, mais je dois rester pieds nus, et elle me précise que j’aurai cinq minutes d’avance, par rapport à mes poursuivants. Elle m’invite à m’enfuir au plus vite, car le décompte de ces cinq minutes vient de commencer. Je pars en courant dans la première allée qui se présente. Autour de moi, il y a des massifs et des bouquets d’arbres que je devine à peine dans la nuit, et je finis par buter sur un mur de clôture. Infranchissable. Je le longe, en partant sur ma ...