Cousine
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
... rejoignit. Je lui pris vivement le sein par-derrière. — Non! je ne veux pas... Je ne veux plus. Elle se dégagea. Je la saisis par les hanches. ― Hé, Monsieur! Je ne suis pas votre bonne! fit-elle en s'échappant de mon emprise. Allez, au travail! Il faut finir cet après-midi. Elle me tendit sèchement le rouleau, s'efforça de sourire, empoigna un pinceau et un pot de peinture et se mit à l'œuvre en silence. Je passai dans l'ouvrage toute ma frustration contenue. Je salopais tout et je m'en foutais. J'essuyai une larme avant que Marion ne la voie. Cela me calma et je me résolus à nettoyer mes dégâts. Je la regardais du coin de l'œil, montée sur une chaise pour peindre le tour des portes. Ses jambes ambrées badigeonnées de blanc, comme elles étaient longues et effilées! Comme le cousin avait de la chance! Il devait être fier de se montrer en public en tenant la main de sa femme! À la toute fin de l'après-midi, nous avions tout rangé. Un parfum de latex flottait dans l'air. Elle décréta : ― Nous méritons bien un p'tit apéritif avant le repas, n'est-ce pas? Ce soir, on fait les couch potatoes devant une vidéo! Je m'enfermai dans le mutisme, bien déterminé à ne pas croiser son regard. Elle ne hasarda pas de remarque en me décapsulant une bouteille de bière. ― On trinque, mon chou? Je me composai un masque vide de toute émotion. Nous nous changeâmes : elle avait enfilé un short et un t-shirt sous lequel elle ne portait visiblement pas de soutien-gorge. Elle fit l'essentiel de la ...
... conversation durant le repas. Puis nous nous installâmes au salon devant le téléviseur, affalés chacun à une extrémité du canapé. Elle avait choisi un classique en noir et blanc, Le blé en herbe. « Tu as lu Colette? » Non, je ne connaissais pas. Je me concentrai. Je voulais absolument ne rien manquer du film, histoire de ne pas penser à elle, mais des idées noires me brouillaient la vue. Dans ma tête jouait un tout autre film. Je me voyais me jeter sur Marion et la renverser sur le plancher. J'arrachais ses vêtements et la forçais à se mettre à plat ventre. Après avoir écarté ses cuisses, je défaisais lentement ma ceinture, baissais mon pantalon, exhibais mon membre zébré de veines que j'enduisais d'une motte de beurre que j'avais préparée pour l'occasion (j'avais vu ça récemment au cinéma en compagnie de Geneviève : ça nous avait écœurés) et, enfin, je la sodomisais sans état d'âme, sinon un sourire sardonique au coin des lèvres. Sans écouter ses supplications, je la labourais méthodiquement jusqu'à ce que... Ma représentation privée s'interrompit quand la véritable Marion étendit les jambes sur le canapé. Peu après, elle s'étala franchement, tandis que je me contentais d'une toute petite place. Elle déposa son pied sur mes genoux. Puis le retira. Et encore le passa sous ma cuisse. À quoi jouait-elle donc? Les yeux sur l'écran, je mis toute mon énergie à ne pas me préoccuper d'elle. Jusqu'à ce que son pied effleure mon entrecuisse. ― Tu boudes encore, cousin? minauda-t-elle en ...