La déception pousse vers des voies étroites
Datte: 09/07/2019,
Catégories:
fh,
fsoumise,
soubrette,
vengeance,
chantage,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
historique,
... désappointée de te voir dédaigner cette offre.— Je ne voudrais pour rien au monde déplaire à Madame. Cependant…— Voyez cette ingrate qui méprise ce que je lui octroie. Marguerite peu habituée à voir la marquise ainsi, car c’est plutôt en temps normal une maîtresse fort accommodante et facile à vivre, que nombre de ses consœurs lui envient, ne comprend ce qui se passe et ne sait plus à quel saint se vouer. Elle ne réalise point que ce sont ses gloussements lors du retrait du fondement de la marquise de ce qui y était inséré, qui ont rempli l’esprit d’icelle de maussaderie rancunière. Malgré tout, comprenant qu’il faut mieux obtempérer pour conserver crédit auprès de sa maîtresse et peut-être même, dans le pire des cas, sa place, s’empresse-t-elle de répondre en commençant à délasser son caraco : — Oh non, Madame, je ne refuse point votre générosité, je ne pensais simplement pas mériter autant.— Mais si, ma bonne Marguerite, amplement. La chambrière se dévêt en rosissant. Quand elle est nue Marguerite reste bras ballants, ne sachant ce que l’on attend d’elle. Tout miel, la marquise la prie de s’asseoir sur une causeuse, cela fait, elle lui prend les pieds l’un après l’autre pour les déposer sur l’assise. Marguerite se laisse faire, mais ne prend pas d’initiative. Anaïs se rend compte de sa passivité, aussi décide-t-elle de susciter un plus d’ardeur : — Il faut que soit dans de meilleures conditions, pour profiter pleinement Marguerite pense que sa maîtresse renonce et se ...
... prépare avec soulagement à se lever, mais elle est arrêtée d’un : — Caresse-toi ! Comme elle ne réagit pas. La marquise prenant un air peiné enchaîne : — N’as-tu donc jamais pratiqué ? Attends je vais te faire voir. Joignant le geste à la parole, elle se rapproche, écarte les cuisses et commence à passer les doigts sur le conin offert, s’insinuant entre les lèvres, dégageant le bouton, l’agaçant. Après avoir ainsi œuvré de longues minutes, elle prend la main d’une Marguerite ébaubie, pour qu’elle prenne la place de la sienne en précisant : — Maintenant que je t’ai montré, tu devrais pouvoir continuer. Je pense que tu n’auras pas de difficultés à trouver ce qui te sied le mieux. Vas-y et mets du cœur à l’ouvrage, cela n’en sera que meilleur. Marguerite se met à l’ouvrage. D’abord presque timidement, puis, sous les l’effet combiné des exhortations de la marquise et de la fièvre qui la gagne de plus en plus vivement, pourin fine s’astiquer la moule fougueusement. Elle le plaisir poindre, quant à son grand désappointement, Anaïs l’interrompt : — Je vois ma fille que tu es maintenant dans les meilleures dispositions. Agenouille-toi ! Vicomte à vous l’honneur de commencer à préparer le terrain. Icelui qui ne s’attendait point à être mis à contribution, reste interdit et hésitant. Il ne lui sied point de participer à cela. Le voyant sans réaction, la belle Anaïs reprend : — Eh bien, cher ami, qu’attendez-vous ? Auriez-vous le cœur de laisser cette pauvre Marguerite ignorante de ce que ...