Die rache
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
bizarre,
vengeance,
pénétratio,
sm,
fantastiqu,
fantastiq,
attirautr,
... aisément l’atteindre d’un bond. Prétendant chercher de la nourriture, je me préparai à fondre sur elle. Sa rapière, une arme à peine suffisante pour bien trucider une souris, était sur la berge, mais pas son stylet. C’était une arme en apparence ridicule, mais on m’avait une fois transpercé d’une telle arme, et j’avais trouvé l’expérience fort déplaisante. Gardait-elle l’arme pour moi, au cas où, ou bien pour un éventuel mécréant voulant profiter d’une femme nue et vulnérable ? Un peu des deux, probablement. Mon bond fut une surprise manquée. Elle s’attendait toujours à n’importe quoi de ma part, sur ses gardes. Surprise ou pas, le résultat était le même : je l’attrapai avec mes longs bras, l’enserrant contre ma poitrine, ses bras prisonniers des miens. Et je l’entraînai sous l’eau avec moi. L’eau était peu profonde, le fond vaseux, mais mon corps n’avait pas beaucoup de gras et je flottais à peine mieux qu’une roche. Aujourd’hui, ça faisait bien mon affaire. La femme que je tenais dans mes bras, lorsqu’elle avait soumis mon humain à la Question, avait souvent fait usage d’une technique de torture consistant à plonger la tête du supplicié sous l’eau, de manière répétée. Une suffocation contrôlée, des dizaines de séances pendant la durée de sa captivité. Je pouvais dire ce que je voulais de mon humain, mais il m’avait rendu très fier et honoré de l’avoir pour humain. Il n’avait pas parlé, avait gardé le secret, malgré des mois de sévices. J’allais, un jour, partager avec ...
... lui tous les souvenirs de ce que j’avais fait, la vengeance extraite pour lui. Ce soir, Kra-nyssa allait goûter à son propre remède… Son stylet était dans un étui attaché à son mollet droit. Je ne trouvai aucune autre arme et la libérai de sa lame en la glissant hors de son fourreau. Un moment pour prendre un peu d’air et lancer l’arme sur la berge, puis je me concentrai sur les choses sérieuses… Je la tournai dans mes bras, jusqu’à ce que je sente ses petits seins contre ma poitrine. Allait-elle comprendre la nature du jeu ? Aucune crainte. À bout de souffle, mais toujours en contrôle, elle pressa son sexe contre le fourreau de mon pénis, réussissant à libérer la pointe de mon érection et à la prendre en elle. Elle battait des jambes, se tortillait, afin de glisser plus de ma chair en elle. C’était loin d’être facile, et ses efforts frénétiques brûlaient rapidement son oxygène. Elle me mordit durement une épaule pour me rappeler qu’il lui fallait respirer. C’était douloureux, mais facile à ignorer : j’avais beaucoup de plaisir, son corps travaillant désespérément le peu de ma chair enfoncée en elle. J’avais les souvenirs de Kassariel pour me guider, juger du bon moment. Je la laissai faire surface, la femme respirant l’air goulûment, bruyamment. Un souffle, deux, trois, quatre. Mon corps l’alerta de ce qui allait se produire au prochain souffle. — Non ! J’ignorai son cri, lui replongeai la tête sous l’eau. Elle savait quoi faire, savait qu’il lui fallait me donner de bonnes ...