Die rache
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
bizarre,
vengeance,
pénétratio,
sm,
fantastiqu,
fantastiq,
attirautr,
... sensations si elle désirait être récompensée par quelques bouffées d’air. Mon pénis était beaucoup plus canin qu’humain : la tête était pointue, facilement accommodée par son corps, mais il s’élargissait rapidement pour atteindre une telle grosseur qu’il me fallait toujours utiliser la force pour bien la pénétrer. Je n’arrivais jamais à enfoncer toute ma chair en elle, ma verge trop longue pour sa chatte. Ce soir, ce n’était pas moi qui avais à me démener. Sous l’eau, son corps cherchant à flotter, et avec ses mouvements restreints par mes bras, sa tâche était difficile. Et profondément plaisante : pour me faire s’enfoncer en elle, elle devait me donner des coups de reins, m’agripper de ses muscles. Je n’allais pas la noyer, mais la rendre au bord de l’évanouissement ? Sans aucune hésitation. Je la laissai faire surface plus tôt en guise de récompense, car ce qu’elle faisait était plutôt bien. Je lui laissai même plus de temps en surface, car elle n’arrêtait pas, continuait à bouger, à me stimuler. Notre première séance allait être douce et facile, mais je préparais déjà la suivante, examinant comment elle respirait. Je savais que j’allais délibérément lui faire boire la tasse à au moins une reprise. Kassariel ne se rappelait jamais de ce que je faisais, sauf lorsque je le voulais. Un jour, j’allais lui faire cadeau de mes souvenirs, et il saurait que je l’avais vengé, lui qui ne pouvait le faire, ses vœux l’empêchant d’agir contre un autre agent de Milikki. La tête ...
... sous l’eau, encore. Une longue minute à savourer les efforts de la femme, efforts qui devenaient de plus en plus désespérés et frénétiques. Si étroite, si forte ! Une cruelle morsure à la poitrine me sortit de mon moment de distraction. Il y avait un côté plus sombre, sauvage et primitif de moi qui désirait lui laisser la tête sous l’eau jusqu’à ce que je jouisse, jusqu’à ce que mort s’ensuive. Une vengeance finale profondément satisfaisante. Elle l’avait mérité, de nombreuses fois… Sa respiration désespérée, sa toux profonde, les sons d’une personne échappant de peu à la noyade, me surprirent. Je l’avais laissé remonter ? Elle pouvait lire cette surprise sur mon visage, elle savait que sa vie, dans le feu du moment, ne tenait qu’à un fil. Ne tenait qu’à la bonne volonté de celui qu’elle avait tourmenté, de celui qui me retenait. La peur se lisait dans ses yeux. Ça et une excitation sans fond, un désir terrifié, un plaisir sans bornes. Elle jouissait, puissamment, se servait de moi pour son plaisir. Qu’elle était délicieusement tordue ! Fouetté, excité, je lui replongeai la tête sous l’eau. Elle l’avait mérité, elle était consentante, et ce n’était pas la première fois qu’elle s’offrait ainsi à moi, en pleine connaissance de cause. Les sensations qu’elle me donnait étaient puissantes, mon plaisir s’intensifiait rapidement, et la Lune était magnifique. Je levai mon museau vers le firmament et exprimai en un hurlement langoureux mon appréciation de ce moment parfait…