1. Comment se perdre dans un labyrinthe


    Datte: 23/04/2020, Catégories: fh, ffh, inconnu, magasin, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, délire, fantastiqu,

    ... Madame que je me branle. Ah bon ? Si elle le voulait après tout… Je quittai la chatte de Madame et visai un peu plus haut. La résistance à l’entrée était tout autre. — Enfonce ! disait Madame en serrant les dents. Allez, jusqu’à la garde !— C’est que tu en redemandes !— Enfoiré ! Tu m’encules ou tu discutes ? Et toi, Ambre ? C’est ça que tu appelles se branler ? Cette phrase nous donna un coup de fouet à tous deux. Je m’enfonçai plus loin en elle et commençai un lent va-et-vient. — Est-ce qu’il bouge ce miroir ?— Non Madame, soupira Ambre.— Alors, va plus vite, me dit-elle.— Je vais te faire mal.— Fais-moi rire ! J’en ai déjà eu de plus grosses et de plus vivaces ! Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences. Quoique… avec ma description du balai dans le cul, étais-je si loin de la vérité ? J’accélérai donc l’allure et me concentrai sur la jolie Ambre qui mettait du cœur à son ouvrage en ne nous quittant pas des yeux. C’est en regardant dans sa direction que je m’aperçus que le miroir commençait à se brouiller. En pleine action, je n’avais aucune envie de m’arrêter. Au contraire, j’en voulais plus. J’envoyais un violent coup de reins contre les fesses de Madame qui, malgré ses grandes paroles, ne put s’empêcher de pousser un cri. — Déshabille-toi, Ambre, criai-je.— Quoi ?— Fous-toi à poil ! Je veux voir tes seins, ta chatte, ton cul ! Je donnai trois autres coups violents contre Madame. — Fais ce qu’il te dit, gueula cette dernière. Je vais. Je vais Hurler ! ! ! ...
    ... C’est là que je remarquai qu’elle était, elle aussi, en train de se caresser le sexe. Avec des gestes plus rapides qu’à l’accoutumée, Ambre se débarrassa de ses vêtements et reprit sa masturbation. C’est à ce moment que, comme promis, Madame poussa son hurlement. Je ressentis une douleur au niveau de ma queue lorsque ses fesses se contractèrent. Puis Madame se laissa couler à terre. Sans ménagement, je retirai ma queue de son étau et arrachai la capote pour en mettre une autre. — Dépêche-toi, me pressa Ambre, les doigts toujours dans sa chatte. Alors que je m’approchais d’elle, elle se laissa tomber sur le dos, jambes écartées, prête à soutenir l’assaut. Je sentais bien qu’il allait être de courte durée. Ne pensant qu’à mon propre plaisir égoïste, je m’enfonçai en elle et commençai mes aller-retour. Je me retrouvais de nouveau sur cette ligne précaire qui sépare le plaisir de la jouissance, mais cette fois je n’avais aucune intention d’y rester. Un doigt puis un second, presque aussitôt, entrèrent dans mon anus (oui Madame a un trou du cul, moi, j’ai un anus… P’tite nuance intéressante). — Œil pour œil, susurra Madame à mon oreille, et cul pour cul ! Nous fûmes deux à pousser un cri cette fois. Pendant un temps nous n’avons pas bougé, chacun tentant de reprendre son souffle. Madame retira ses doigts lentement et je me dégageai d’Ambre. — Regardez, dit Ambre. Le miroir !— Il reflète le moment présent, on dirait. Je bougeai devant le miroir et mon reflet me suivit dans tous mes ...