1. Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (4)


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, copains, profélève, école, volupté, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation journal,

    ... et de me décevoir moi-même. Stéphane était là, devant moi, comme il y a quelques heures dans la salle de classe, mais cette fois, comme si le changement de lieu avait suffi à opérer en lui la métamorphose, il me regardait d’un air résolu, insolent presque. Lui, si timide, semblait ne plus attendre que le moment où « le Théâtre » l’autoriserait à me toucher et à me prendre. Je commençai, lentement, la récitation de mon texte :« Je suis Sofia. Qu’il est étrange d’être femme… » Stéphane se rapprochait à chaque phrase. Quant j’arrivai au passage central de ma tirade :« Mais quand mon esprit te parle, c’est par mon corps que te pénètrent mes idées… », il me serra soudain contre lui, passant ses mains dans mon dos, serrant son buste contre ma poitrine, son visage à deux centimètres du mien. Je suffoquais presque, n’osant protester, et la suite de mon texte fut dite dans une sorte de halètement. L’étreinte de Stéphane se resserra encore. Je sentis la raideur de sa verge contre ma robe. Je sentis ses mains glisser sur mes reins… Ses deux mains, oh mon Dieu, s’emparèrent sans ménagement de mes fesses, les saisissant comme de belles grappes, creusant, palpant, triturant, malaxant, caressant. Et soudain son visage plongea dans mon cou pour y loger une infinité de baisers qui achevèrent de me faire fondre… Littéralement fondre, car cette fois, je le sentis dans un moment proche de la panique, les vannes étant grandes ouvertes, la fontaine ruisselait et je sentais avec effroi entre mes ...
    ... cuisses le début d’une inondation… Je me trompai une première fois dans mon texte :« Je suis là… oh mon Dieu, j’ai oublié ! », mais il continuait à m’embrasser et à me caresser les fesses. J’essayai de me reprendre : A cet instant moment précis Stéphane commit l’irréparable. N’en pouvant plus, il avait passé ses mains sous ma robe et ses doigts avaient découvert mon intime secret ; il avait trouvé, au lieu de la soie d’une culotte, la chair vivante, fraîche et chaude à la fois, de mes fesses. Apparemment, et contrairement à mes craintes premières, il ne s’était à aucun moment douté de ce qui l’attendait : son visage, croisant mon regard, manifesta sa stupeur devant la divine surprise ! Que voyaient les autres ? C’était presque impossible à savoir. Je leur faisais face et Stéphane faisait obstacle entre eux et moi. Peut-être ne s’étaient-ils pas rendu compte, dans leur angle de vision limité, de ma nudité ? Encore que… Cherifa était la mieux placée des trois pour se douter de quelque chose. À ce moment, cependant, j’étais trop occupée pour tout saisir du spectacle autour de moi. Je ployais sous le désir de mon partenaire, en m’efforçant de réciter mon texte : A ces derniers mots, je sentis la main de Stéphane changer de position, s’introduire à nouveau sous ma robe, mais cette fois par-devant, et se plaquer – comment osait-il , comment ? – contre ma chatte nue et ruisselante, empoigner mon entrejambes, oubliant toute retenue. Stéphane, le gentil Stéphane, cet élève si sérieux et ...
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