Le parloir
Datte: 06/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
voisins,
fsoumise,
vidéox,
odeurs,
Oral
fdanus,
initff,
lieuxpubl,
... avec de belles aréoles. Ils étaient aussi désirables qu’elle. On avait envie de les manger, de les croquer comme deux belles pommes. Mes caresses se voulaient douces, langoureuses, symétriques, réfléchies. J’en massai les contours pour mieux me rapprocher des tétons que je pris délicatement entre le pouce et l’index. Puis recommençai la manœuvre. Elle en bombait le torse, la tête rejetée en arrière dans un équilibre précaire. Puis elle revint à la verticale. Son regard à nouveau, ses yeux dans les miens, pendant qu’elle dégrafait mon chemisier. Elle extirpa mes seins qui n’avaient rien à envier aux siens, et se pencha pour me les lécher. — J’ai envie de te manger, me dit-elle à l’oreille.— Bouffe-moi, baise-moi. L’effet de l’alcool, peut-être. Jamais je n’avais fait l’amour avec une femme. Elle non plus, me dit-elle plus tard. Mais je ne la crus pas, vu le savoir-faire qu’elle démontra par la suite. Elle me prit par la main et me conduisit dans la chambre. Je n’étais pas réellement amoureuse. J’étais psychologiquement éreintée de tant d’émotions, de ma solitude. J’étais à l’abandon, résignée à offrir mon corps, à accepter tous les outrages. Y compris ceux qui me paraissaient peu catholiques. Debout, au pied du lit, nous nous embrassâmes à nouveau. Lentement, ses baisers se dirigèrent sur mes seins, puis sur mon nombril. Elle fit glisser ma jupe et mon Tanga, baisant au passage les poils de mon pubis. Enfin, elle ma bascula en arrière. J’étais inerte. Je ne maîtrisais ...
... plus rien, je la laissais faire. Je savais déjà à peine faire l’amour à un homme, j’étais incompétente avec les femmes. Elle s’allongea sur moi de tout son long après avoir retiré son string en dentelle. Puis elle se frotta à moi, descendit vers mon puits d’amour pour y placer la bouche. J’étais gênée, mais je mouillais abondamment. Je fis mine de garder les jambes serrées, ce qu’elle fit rompre d’un regard. — Je vais faire de toi ma pute, dit-elle en commençant à passer sa langue sur mes grandes lèvres. Les mots, dans sa bouche, me choquèrent ; elle qui, il y a une demi-heure encore me cajolait comme une mère. Mais je la laissai faire. Surtout, je m’électrisais à chaque coup de langue. Le muscle mou et puissant de Muriel s’enfonçait toujours un peu plus dans mon antre. J’étais désormais dans un état second, un état que je n’avais guère connu avec Franck, lequel n’était pas un adepte des cunnilingus. — Retourne-toi ! m’ordonna-t-elle. J’obéis, persuadée qu’elle allait s’allonger de tout son long sur moi, mimant ainsi une pénétration par derrière. Ce fut le cas, quelques minutes. Puis elle descendit à nouveau, humidifiant de sa langue les omoplates, l’épine dorsale, les reins. Puis sa tête à hauteur de mes fesses. Que faisait-elle ? Je voulus me retourner. Elle m’en empêcha, ses mains posées sur mes deux lobes. Elle écarta mon petit cul, et y glissa le nez et la bouche. Jamais, au grand jamais, je n’aurais permis à quiconque de fureter de ce côté-là. Franck n’avait jamais osé ...