Le rêve de l'été
Datte: 08/04/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
vacances,
campagne,
amour,
revede,
Oral
pénétratio,
consoler,
occasion,
nature,
... soir, au terme d’une longue et chaude journée, achevait de rendre l’ambiance solennelle, comme hors du temps. Je m’étais assise au milieu des fleurs. Je pensais à une chose, puis à une autre, sans continuité, saisie par la poésie du lieu. — Bonsoir Je ne fus pas surprise, mais étrangement heureuse. Je l’attendais, et il était de nouveau apparu, sans bruit. Il répondit à mon sourire. — Vous n’êtes pas venue au rendez-vous, hier soir. Pourtant, d’une certaine façon, nous étions ensemble. Je ne pus m’empêcher de rougir et de baisser les yeux. Il n’y avait dans sa voix aucune nuance de reproche, seulement un regret du temps qui passe. Elle n’en était que plus suave. — Savez-vous comme vous êtes belle, ainsi, rose et fraîche comme une fleur parmi les fleurs ?— On dirait que vous me les avez offertes ! Je ris, avec une innocence que je croyais ne plus avoir. Il s’assit à côté de moi. Nous regardions la nuit tomber, sans échanger une parole qui eût pu troubler la solennité de l’heure. Derrière nous le soleil s’enfonçait sous l’horizon, allongeant nos ombres, les fusionnant avant de les dissoudre dans l’obscurité qui gagnait graduellement la vallée. L’orient se parait de couleurs violettes qui, imperceptiblement, s’assombrissaient en envahissant le ciel. Les premières étoiles s’allumèrent, et répandirent bientôt sur le sol une lumière irréelle. L’air de la nuit commençait à fraîchir. Instinctivement, je cherchai la chaleur de l’inconnu, il m’attira doucement vers lui, me caressa ...
... tendrement la joue tout en me montrant les constellations et en me disant à l’oreille mille choses qui me charmaient comme la plus belle des musiques. Il me regardait tendrement, mes yeux l’invitèrent. Il m’embrassa, son baiser coulait dans ma bouche comme le plus fin des nectars. J’y répondis, je voulais lui rendre l’ivresse qu’il me procurait. Il m’aida à enlever mon maillot, mes seins, libérés de la pression du tissu qui s’était faite de plus en plus insupportable, jaillirent à la rencontre de sa bouche qui les prit avec délicatesse, leur procurant des sensations indéfinissables. Il semblait vouloir couvrir chaque parcelle de ma poitrine de baisers. Je me laissais faire, c’était si délicieux, la nuit était si belle ! Peu à peu, sa tête descendait sur mon ventre. Il ôta mes chaussures, puis mon cuissard. Ses mains glissaient sur mon corps, qui commençait à se cabrer, maintenant nu et livré sans défense. Ses lèvres, après avoir longuement parcouru mes cuisses en tout sens, déposèrent sur mon sexe le plus tendre des baisers. Je sentais que mon vagin, que sa langue entrouvrait avec délicatesse, s’emplissait d’une chaude humidité, qui remontait le long du ventre, faisait encore durcir la pointe de mes seins, gagnait ma gorge. Je poussai un gémissement. Sans jamais cesser de m’embrasser sur tout le corps, il s’allongea sur moi. Nos lèvres se trouvèrent, en même temps que mon sexe s’ouvrait pour accueillir son conquérant. La pénétration, si naturelle, fut pour moi comme une ...