La leçon d'Isabelle
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
jeunes,
frousses,
copains,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
jeu,
init,
humour,
... caresse doucement… Palpe le mamelon, fais-le tourner très légèrement, dans un sens puis dans l’autre. Oui. Pince-le délicatement. Pas plus fort pour le moment. Bien. L’autre, maintenant. Ça va, retourne à ta place. Joue. Ton cheval est bien aventuré, prend garde, ma reine est en embuscade. Au cinéma, tu les as embrassés, les seins de Charlotte ?— Pas encore.— Mais tu penses bien que ça viendra ? Tu mériterais que je te renvoie dans ta chambre, mais je te pardonne. Tu as bien fait de ne pas y porter les lèvres dans le noir, tu aurais été capable de les mordre. Il faut d’abord les adorer du regard. Il est ensuite bienvenu de les soupeser, de les imprégner de la chaleur des paumes mises en coquille. Après, seulement après, on avance les lèvres, on suce un peu, on en fait rouler la pointe sous la langue. Si la fille le désire, on mordille, on étire, on tète, mais attention, nous ne sommes pas toutes masos, c’est à toi de comprendre ce que l’on veut. Tiens, je prends ton cheval avec ma reine, je t’avais prévenu. Eh bien, j’attends ! Elle venait de reculer sa chaise et me montrait les boutons de sa veste de pyjama. Mes doigts fébriles firent le nécessaire, la veste fut jetée sur le carrelage. — Non, Julien, pas tout de suite. Caresse d’abord. Qu’est-ce que je t’ai dit ? Soupèse-les. Soulève-les. Empaume-les. Ne les écrase pas ! Que tes mains en épousent le galbe, simplement. Voilà ! Maintenant les lèvres. Oui, insiste. Aspire un peu. Bon, à l’autre, maintenant. C’est bien. Tu as ...
... quelque chose qui apparaît entre les pans du peignoir, c’est long, assez gros, rose et fendu au bout. Un peu luisant. De quoi s’agit-il ?— Si tu y touches, j’explose.— Ce serait dommage. Maîtrise-toi. Je suppose que tu as apporté une boîte de préservatifs ?— À tout hasard…— Va la chercher. Elle me dit ensuite de la poser sur la table, à côté du jeu. Je l’ouvris et déchirai une enveloppe mais sans aller au-delà. Elle me regardait avec attention. Ses seins étaient un peu rouges, leurs pointes grumeleuses brillaient de ma salive. Elle se réinstalla devant le jeu et ne tarda pas à prendre ma reine. — Tu as de nouveau perdu, Julien.— J’aimerais bien perdre encore, dans de telles conditions.— Une autre, alors ? Mais tu dois la gagner si tu désires que nous passions à la leçon suivante. Je me débarrassai du peignoir, pour mettre un peu plus de chances de mon côté, escomptant qu’Isabelle regarderait moins l’échiquier. L’échange des pions fut rapide, je lui pris un cheval et une tour. Mes fous et ma reine montaient à l’assaut. Isabelle ne se défendait que mollement, la partie était à mon avantage. — Je crois que tu vas gagner, cette fois, Julien. Tu vois, quand tu veux… Je tiens ma promesse. Comment préparer Charlotte à te recevoir au plus profond d’elle-même ? Je suppose qu’elle est vierge. Dans le doute, faisons comme si elle l’était. Il te faudra du doigté. Au sens figuré, bien sûr, mais en partie seulement. Tu disposes d’un bel instrument dont tu te serviras, rassure-toi. Tu sais ...