Les mémoires de Popaul
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
religion,
fgode,
hgode,
délire,
humour,
... m’introduisit brièvement entre ses fesses. Quand je la pénétrai, elle était trempée comme jamais et l’abbé frisait l’apoplexie. Il n’en pouvait plus. Il étreignait sa soutane d’une manière qui ne laissait aucun doute sur ce qu’il était en train de faire. L’excitation était telle qu’elle jouit en quelques secondes. Heureusement, elle ne hurlait plus, se contentant d’un long feulement. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase pour l’abbé. Sans aucune retenue, il se secouait la tige et il éclata vraisemblablement dans la seconde où Marguerite jouit. — Marguerite, vous voyez ? lui dit-il en désignant la tache humide qui souillait sa soutane. Moi aussi je sécrète un liquide en présence de ce jouet. C’est un miracle ! Ce ne peut être un péché ! Le doigt de Dieu vous a touchée, ma fille. C’était bien la première fois qu’on me déifiait ! Elle n’avait pas pensé à me retirer de son corps et je sentis aux contractions de sa vulve que les propos de monsieur l’abbé Rurier, loin de l’apaiser, l’excitaient. — Ma fille, votre jouet est-il enduit de votre crème ?— Mon père…— Voyons, ma fille ! C’est pour votre salut ! Là, c’était carrément porc salut (jeu de mots débile pour les plus de 40 ans) ! Feignant la timidité, elle me sortit de mon équatoriale cachette et me posa sur la table. — Mon Dieu ! ne put s’empêcher de s’exclamer l’abbé. Vous êtes foutrement abondante ! Euh… je veux dire, ma fille, que je suis surpris ! Je ne savais pas !— À chaque fois c’est comme ça, mon père ! Mais vous… ...
... commença-t-elle en portant sa main contre la soutane de l’abbé. Main qu’elle retira avec un « Oh ! » de stupéfaction. Puis, comme attirée par un aimant, elle y revint. Abandonné sur la table, je vis son visage s’éclairer, son regard briller avant de reprendre un air humble, yeux baissés. — Mon père, ce n’est pas possible !— Qu’est-ce qui n’est pas possible, ma fille ?— Cette… cette chose que j’ai touchée…— Oui, ma fille ?— C’est…— C’est quoi, ma fille ?— Votre… sexe ?— Oui, ma fille. Pourquoi cet étonnement ?— Il est… il est très gros. Bien plus gros que ça, dit-elle en me désignant d’un air dédaigneux. La rouée ! Le bon abbé qui croyait jouer les pervers se faisait manipuler comme un gland par mademoiselle de la Craquette jouant les ingénues naïves. Ce qu’elle n’était plus depuis qu’elle avait une connaissance approfondie de mon humble personne. — C’est un don du Seigneur, ma fille !— Est-ce que ce serait pécher si vous me le montriez ? Cet air contrit ! Si elle avait posé son doigt entre ses lèvres en hochant la tête, elle aurait eu tout à fait l’air d’une adolescente faussement timide quémandant une faveur à un papa gâteau/gâteux. Le discours affectait nettement la virilité de l’abbé. Virilité qui tendait de nouveau la soutane. — Mais non, ma fille. Mais avec ma soutane c’est un peu compliqué.— Ben, ôtez-la. Ces paroles avaient jailli spontanément, trop spontanément. Le rouge de la honte envahit son visage. — Pardon, mon père, pour cette outrecuidance !— N’ayez pas honte, ...