Les mémoires de Popaul - Histoires de Sexe

Les mémoires de Popaul

... ! Ce serait dommage de le jeter ! Et les bas, mon chou, sont-ils filés ? Même pas ! Ils sont sexys. Je les porterai la prochaine fois que Laurent m’emmènera au restaurant. Il ne faut pas gaspiller. Les bas rejoignirent le porte-jarretelles. D’un geste dédaigneux, elle souleva la perruque. — Mon pauvre chéri, si tu avais vu comme tu étais ridicule avec cette perruque de carnaval. Exit ma copine la perruque (elle était un peu vulgaire, mais elle nous faisait bien rire) qui rejoignit le soutif. Elle hésita longuement devant le petit string de dentelle, mais finalement il prit la même direction que la précédente avec un commentaire peu amène : — T’es chouquette, mais je ne te porterai pas après que tu aies servi de chiffon à mon décérébré de mari. À nous deux, mon beau… Oh my God, cette sensation quand ses longs doigts effilés entourèrent ma hampe… Si je n’avais pas été naturellement dur, je me serais mis à bander. — Tu es trop croquignolet. Bon d’accord, ta couleur rose fluo n’est pas top. Mon pauvre condamné à baiser le cul de mon vicieux de mari. J’espère qu’il était propre au moins. Ce serait vraiment dommage de se débarrasser d’un joujou si mignon. Comme Lolo n’est pas prêt d’avoir accès à mes trésors, et comme je suis une femme honnête, tu le remplaceras. Tu pourras enfin remplir le rôle pour lequel tu as été conçu. Ma chatounette bien ointe te changera agréablement du cul sec de mon travelo d’époux. Elle me parlait. Jamais son « connard de mari » n’avait daigné le faire. ...

... Elle me branlait délicatement. Quelle différence avec la fruste attitude de Laurent ! Mon petit cœur faisait des bonds. Je tombai en amour pour cette donzelle. Et pour les malappris, j’ai beau n’être qu’un artefact, je citerai Lamartine : « Objets inanimés, avez-vous donc une âme qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ? » On peut être artefact de fabrication chinoise et posséder une certaine culture. Alors les malappris ci-dessus cités, retournez dans vos 22 ! — Oh, mais tu as un vrai prépuce rétractable ! Elle ne put résister et m’approcha de sa bouche. Elle allait me goûter. Elle interrompit soudain son geste. — Désolée mon chou, je ne poserai pas mes lèvres sur ce gland qui a défoncé Lolo… en tout cas pas avant de l’avoir désinfecté. Salle de bain. Produit antiseptique. Crème adoucissante. Ses lèvres sur mon gland. Une main tenant mes boules, l’autre coulissant sur ma tige. La sournoise s’amusait comme une petite folle à me dé/recalotter. La main qui s’occupait de ma tige l’abandonna pour dégrafer son jean et se glisser dans sa culotte. — Tu sais que tu m’as drôlement excitée, chou ? Je suis tout humide. Tu veux voir ? Je quittai sa bouche pour me retrouver entre ses cuisses. Le jean et la culotte se retrouvaient miraculeusement descendus jusqu’à ses genoux. Le bout de mon bout effleura son minou aux poils imprégnés d’une substance inconnue pour moi. Elle ne mentait pas. La drôlesse me manipulait avec adresse le long de sa fente qui s’entrouvrait. Elle remonta plus ...