Les mémoires de Popaul
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
religion,
fgode,
hgode,
délire,
humour,
... haut et je découvris ce petit bouton érigé qui, selon mes copains de panoplie, était le starter pour une rapide mise en orbite. Ils devaient avoir raison. Laurence abandonna toute autre manœuvre. Elle se servit de ma tête de nœud comme d’un doigt tournicotant, pressant plusieurs fois, elle remonta mon prépuce pour encapuchonner son bouton. Sa jouissance vint rapidement : elle se tétanisa, me gardant appuyé contre son clitounet. Puis comme si j’avais été un amant de chair et de sang, elle me couvrit de baisers. — Je sens qu’on va passer du bon temps tous les deux. Je ne connais même pas ton nom. Il fait que je t’en trouve un. Maintenant, au bain, mon chéri ! On était vraiment très propre dans cette famille. J’aurais pensé que le traitement qu’elle m’avait fait subir avec sa langue aurait suffi. Meuh non ! Elle me nettoya. Aucun interstice n’échapperait à ses soins attentifs. Soudain, elle poussa une exclamation ! — C’est quoi ce truc ? Un bouchon. Mais… tu as un réservoir ? Un vrai petit homme ! Humm ! Ça va être encore mieux ! Je vais enfin pouvoir bénéficier d’éjaculations multiples. Dommage que je doive aller travailler. J’ai hâte d’être à ce soir. ********** Ce soir-là débuta une aventure passionnelle passionnante qui dura plusieurs mois. Nous nous aimâmes follement. Arrêtez de vous moquer ! Je sais je ne suis qu’un misérable substitut, mais Laurence me considéra toujours comme son amant. Grâce à elle, je connus le plaisir de pénétrer une douillette grotte d’amour, ...
... naturellement lubrifiée (rien à voir avec le fondement de Lolo, même si celui-ci avec l’expérience avait compris l’utilité de la vaseline) et d’y éjaculer souvent plusieurs fois. Comme son mari, Laurence adorait les préliminaires. Comment bien de fois ai-je lutiné son bouton ? Combien de fois ai-je écrasé ses gros tétons ? Combien de fois me suis-je glissé dans sa raie culière ou dans la vallée merveilleuse de ses seins ? Je l’ai aussi sodomisée, mais il fallait qu’elle soit particulièrement partie. Ce n’était pas vraiment son truc, mais comme c’est elle qui donnait le tempo, qui, d’une main, gérait la pénétration tandis que l’autre officiait sur la face avant : baisant sa chatte avec deux ou trois doigts, le pouce étant réservé à la vénération exclusive de son bouton d’amour. Elle était folle de moi. Au bout de quelques semaines, elle m’avait installé un petit nid au fond de son sac à main. Je ne la quittais plus. Elle adorait fauter dans les lieux les plus extravagants : l’ascenseur ou le parking de sa boîte, les cabines d’essayage, les toilettes ; les grands classiques, évidemment. Elle m’emmena à la campagne ; nous nous aimâmes au milieu des champs, en sous-bois, dans l’eau claire d’une rivière, même dans une petite chapelle abandonnée, et j’en oublie. Sans oublier les petites joutes alors qu’au téléphone elle se trouvait face à un interlocuteur qui l’ennuyait ; ce qui provoqua certains quiproquos quand la jouissance la prenait. Bien qu’elle ne fût pas très démonstrative, ses ...