Les mémoires de Popaul
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
religion,
fgode,
hgode,
délire,
humour,
... orgasmes s’entendaient. Parfois, lorsqu’elle était seule en voiture, en robe ou en jupe, elle m’enfonçait en elle. Son truc, c’était les embouteillages : tous ces mecs qui la regardaient, la classant de facto en bourgeoise coincée alors que, juste en frottant ses cuisses l’une contre l’autre, elle provoquait une tempête dans son vagin. Et toujours en toute discrétion. Le summum fut atteint pour l’enterrement d’une vieille tante qu’elle ne pouvait encadrer. Alors que le prêtre pérorait sur la vie exemplaire de sa parente, elle se planqua dans le confessionnal et je lui prodiguai un pied d’enfer. Elle dut se bâillonner la bouche avec sa main pour ne pas couvrir les premières notes du Requiem de Mozart joué sur une sono pourrie. Toutes ces jouissances restèrent discrètes, cachées. Laurence, pas du tout exhib – voire même prude en société – jubilait (elle me l’a dit) de se faire plaisir à l’insu de tous. Une seule fois, ça avait failli déraper. Elle s’était engueulée une fois de plus avec Laurent, qu’elle avait piqué à se masturber dans une de ses culottes ; leur fils avait ramené un bulletin de notes détestable, et pour couronner le tout elle avait dû prendre un taxi pour rejoindre son job, sa voiture ayant refusé de démarrer. Cet incident l’avait énervée un max. Cela provoqua immédiatement ma mise en service (!) pour calmer son stress. Elle avait toujours pris soin de s’isoler pour satisfaire ses pulsions. Mais ce jour-là, la coupe avait débordé. Sans tenir compte du ...
... chauffeur, écartant sa culotte d’un doigt, elle m’avait enfourné sans précaution aucune. Vu la sécheresse du lieu, cela n’avait pas dû être une partie de plaisir. Malgré la violence de son pilonnage, son vagin se lubrifia légèrement, sans plus. Et soudain ce fut l’inondation. Quelques va-et-vient et un cri plus tard je disparaissais prestement dans son sac sans qu’elle m’ait nettoyé. Ce qui ne lui arrivait jamais. J’eus l’explication une fois arrivée à son taf. Elle se précipita aux toilettes et je repassai à la casserole. Quand elle eut fini, elle retrouva ses bonnes manières. Elle me cajola, me léchouilla jusqu’à ce que plus une goutte de sa cyprine ne subsiste et elle m’expliqua. Alors que nous baisions, elle s’était soudain aperçu que le taxiteur n’en perdait pas une miette. Honte suprême, ce regard concupiscent avait déclenché un orgasme immédiat d’une intensité incroyable, mais qui après coup (si j’ose ainsi m’exprimer) l’avait laissée sur sa faim, d’où l’épisode WC. Elle me promit que jamais plus nous ne prendrions un tel risque ; elle s’était sentie trop humiliée. Elle tint parole. Laurent put regagner le lit conjugal après quinze jours, mais il ne reçut pas pour autant l’autorisation d’exercer son droit de cuissage. Pire, dès le second mois, je couchais avec elle et nous baisions au vu et au su de Lolo. Comme tout mâle (quoique parler de mâle à propos de Laurent !) qui se respecte, voir sa femme batifoler avec un gode déclencha son érection. Elle justifia le terme de « salope ...