1. Ma vallée (1)


    Datte: 22/11/2017, Catégories: Divers,

    ... rabot à la lime à bois en passant par les ciseaux à bois et les gouges, tout y était et de très bonne facture, la même que celle qui équipait mes collègues. Mon tout premier chantier, avec Véronika, fut de refaire un toit entièrement et en bardeau. Cela allait nous prendre trois bon mois si la pluie ne venait pas nous déranger. C’était sur un chalet d’alpage, il avait été abandonné, il y a bien longtemps et son propriétaire comptait bien le remettre en activité. Aussi, dans un quatre-quatre, avec tout notre matériel, des vivres, nous allions passer toute la semaine sur le chantier et y dormir aussi. Trois heures pour monter, le même temps pour en revenir, il ne faut pas rêver, il est impossible de faire un si grand toit en trois mois en faisant le parcours chaque jour. Et bien si, je rêvais, moi, je rêvais de faire l’amour avec ma belle compagne et collègue. On était en juillet, il faisait beau et bien chaud, même à 1800 mètre d’altitude. En slip, on refit le toit, à poil, on s’aimait et couchions ensemble. On baisait en travaillant, le top du top. On jouait aussi, nos cordes ne nous servaient pas que pour soulever notre matériel, mais aussi Véronika qui aime êtres attachée entre ciel et terre. Je peux la tourmenter à ma guise, sachant de demain, ce sera moi à sa place. Il nous arrive que l’un reste attaché toute la journée, écartelé, tendu à l’extrême. Putain ce qu’on adore ça. Le pire c’est qu’on avait de l’avance, mais trois mois, c’est trois mois. Nous avons découvert ...
    ... les orties, ce qu’elles procuraient sur nous. Avez-vous déjà fait l’amour dans les orties, nous si. Douleur et plaisir, ce merveilleux et savoureux mélange. Ma belle était encore plus merveilleuse quand elle jouissait. Certes, on profitait des orties que rarement, il fallait du temps pour faire disparaitre les traces sur nos corps. Oui, nous étions fous à enfermer, fous d’amour pour l’autre. Ce chantier fut le révélateur de nos tendances où chacun emmenait l’autre. Les cordes nous servaient aussi à flageller nos corps. Moi, l’ado, oui, j’aimais ça. Même qu’avec le temps, je savais attacher Véronika dans des positions compliquées autant qu’inconfortable et mes nœuds devenait complexes. Elle adorait me donner son corps pour de longs bondages. Je pouvais la baiser, la faire jouir ou pas, à me convenance. Mais j’adorais aussi quand elle m’attachait, m’imitant en tout point. Me laissant une matinée enserré dans mes cordes, bandant comme un âne en imaginant les pires sévices sur mon corps. Le pire bondage que j’exécutais sur ma douce et tendre complice fut de la pendre par sa poitrine une heure durant, mon couteau à la main au cas où. Je la branlais tout ce temps, la fessais aussi. J’aurais pu pousser cette torture plus loin en lestant ces pieds avec de lourdes pierres. Je ne le fis pas, de peur de détruire son corps somptueux On se donnait à l’autre, lui offrant notre corps pour subir ses perversités. Cela n’empêchait pas de travailler et de bien travailler, même de prendre plus ...
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