1. Mes aventures sur « Paris - Dakar »


    Datte: 11/12/2017, Catégories: fh, fhh, grossexe, plage, bain, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, roadmovie,

    ... ne vois pas d’autres mots. J’étais engrossée. J’enfantais. Je n’ai pas connu la joie de l’enfantement, mais si j’en crois ma mère, cela ne devrait pas être très différent de ce que je ressentis à cet instant. C’était à la fois divin et horrible. Divin, parce que je frôlais d’un seul coup la plénitude, l’euphorie, la félicité. Horrible, parce que j’entrevoyais l’enfer, l’éventration, la mort. Horreur et volupté cohabitaient. Ce mélange impensable existait bel et bien. — Salaud ! Salaud ! m’époumonai-je en chialant sans bien démêler entre la douleur, la peur et les contrariétés, la raison véritable de mes sanglots. L’enjeu grimpait d’un cran. La mort rôdait dans les parages. Je sentais son odeur et en même temps ce destin terrible ne m’effraya pas. Je jouai mon sort à la roulette russe, mais l’excitation était plus forte que ma trouille et la souffrance réunies. L’euphorie prit le dessus. Une alchimie démoniaque fit que mon tourment aiguisait mon plaisir et l’exacerbait à tel point que je baignais dans une sorte de litanie d’orgasmes charnels autant que cérébraux, qui ne finissaient plus et anesthésiaient totalement mon sens commun. — T’en fais pas ! Je suis stérile, marmonna le sumo pour se justifier. Cela ne changea rien. Du reste, je n’en crus pas un traître mot et au moment je m’en foutais, mais inexplicablement mes pleurs redoublèrent. — Ne pleure pas, se lamenta le sumo désolé et ne sachant plus que faire. Il entama une opération de repli que je contrai, cambrant les ...
    ... reins, ruant du cul et délaissant un instant la bite d’Ahmed. — Fais pas attention, c’est nerveux, rassurai-je sobrement à l’attention d’Abdallah, sans plus d’explication Sens commun ? Vous voyez, je n’en avais plus. Quant aux dimensions de l’engin qui m’éventrait, sans doute ai-je forcé le trait sous le coup de l’émotion. Du baratin, né de mon imagination. D’ailleurs après coup je fus un peu déçue, son machin me parut moins impressionnant que je n’imaginai, quoique le chibre prit rang parmi la classe monumentale, d’un genre qu’on ne voit guère qu’une ou deux fois par siècle selon les revues scientifiques que je compulsai par après. Les publications auxquelles je fais référence relataient des études dont le champ était cependant circonscrit au « vieux continent ». Mais la rumeur rapporte que ce genre de phénomène est plus courant en Afrique. Impossible d’être formelle, car la documentation fait défaut, mais cela corrobore assez mon expérience personnelle. Du reste, c’est tout à fait compréhensible si l’on prend en compte l’importance des sorciers en négritude, dont c’est la spécialité d’assister les géniteurs, et qui par ricochet gonflent l’armada des mâles suréquipés. Quelle est l’influence de ces faiseurs de gris-gris ? Quelle est la part d’une hérédité avantageuse ? Mystère. J’ai entendu dire qu’en France on avait aussi un faiseur de miracles, un certain Bazouk, je crois. J’ai branché quelques copains sur la piste. Sait-on jamais ? Foin des espoirs illusoires, je reprends le ...