1. Mes aventures sur « Paris - Dakar »


    Datte: 11/12/2017, Catégories: fh, fhh, grossexe, plage, bain, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, roadmovie,

    ... puis de plus en plus précis au fur et à mesure que nous approchions. Bientôt je discernai les cases, de formes circulaires, bâties en pierres sèches sur plus d’un mètre de hauteur. Les toitures avaient disparu. Le chef m’apprit que nous traversions des ruines Almoravides datant du XIe ou XIIe siècle. Les vestiges s’étendaient sur un espace considérable. Ces traces, témoignages d’une humanité passée, soulevèrent chez moi une émotion indicible. Mais que dire de ma stupéfaction quand je vis à mes pieds cet océan de verdure niché dans les profondeurs mystérieuses et que rien jusqu’alors ne permettait de soupçonner ? En contrebas des ruines du village, une faille profonde et large abritait cette oasis, laquelle étalait une canopée immense, uniformément verte, riche, lumineuse, pleine de vie, contrastant avec l’univers minéral qui était notre quotidien depuis une éternité. Le contraste était si radical que j’en restais bouche bée. À tant côtoyer le sable et la pierre, je ne savais plus ce qu’était la vie. J’avais le paradis sous les yeux, pas moins ! Mais je n’en croyais simplement pas mes yeux. D’un seul coup, je ressentis la vie, la vigueur et la force qui se réappropriaient mon corps. Le chef raconta l’histoire, l’épopée et les prouesses. Ces gens en bas étaient sa famille. Nos pas foulaient son domaine. Il nous guida le long d’une passe pentue, étroite, dangereuse et après une bonne heure d’efforts nous évoluâmes enfin à l’ombre des palmiers, parmi les jardins, le long d’un ...
    ... chemin bordé d’un ruisseau. Les gamins nous faisaient fête. Les vieillards et les femmes rappliquaient nombreux ainsi que deux ou trois hommes valides, lesquels comme les autres nous accueillirent d’une manière presque exubérante qui m’étourdissait un peu. En lisière de la palmeraie, une dizaine de bâtisses construites en dur, non loin de la source. Celle-ci dévalait en cascade se déversant dans un petit lac adossé à une immense falaise verticale, laquelle imposait de lever très haut la tête si on voulait apercevoir son extrémité. — Tu peux te baigner si tu veux, me dit le chef quand nous eûmes fini notre installation. Il n’eut pas à me le dire deux fois. L’eau était fraîche et incroyablement agréable. Je retrouvais avec délice les réflexes d’hygiène qu’on finit par oublier après quelques jours de galère dans le désert. Galère ? Ben oui, imaginez-vous plusieurs jours sans eau pour vous laver. C’est affreux, intolérable, insupportable. Au début, on se grattouille partout avant de se gratter, d’abord de manière frénétique, puis à s’arracher la peau. Ça se calme après un jour ou deux quand les odeurs commencent à incommoder grave et pour finir on fait avec. Une jeune femme ramena une espèce de savon pâteux et noir avec lequel j’enduisis mon corps. Elle me parut avoir mon âge ou peu s’en fallait. Ses yeux rieurs disaient son plaisir de notre complicité tandis qu’elle m’aidait dans mon décrassage. L’eau l’éclaboussait parfois. Sa tunique mouillée ne cachait qu’imparfaitement sa ...
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